Compte rendu rdv nocturne pour éclairage public et voirie au quartier de la gare …
L’heure des travaux a sonné quartier de la gare et déjà des doutes sur le résultat de tout ce béton coulé turlupinent ses habitants… Un simple coup d’œil sur son environnement immédiat et ses parcours habituels suffisent à percevoir certaines incohérences, un flou artistique sur le devenir de cet espace à qui on promet pourtant une qualité de vie des meilleures et pour lequel on capitalise avec des structures dignes d’une ville de plus de 110 000 habitants (transport, logements, bureaux), traversée de surcroit par 60 000 passants quotidiens. On peut difficilement aller vers pire me direz-vous quand on fait un bilan de la situation actuelle, cependant difficile de ne pas avoir peur de rester sur sa faim après tant d’années à manger de la poussière.
C’est en qualité d’habitante avertie (conceptrice lumière de métier, diplôme et expériences à l’appui…ça c’est pour la crédibilité qui apparemment n’est pas écrite sur mon front 😉 ) , que j’ai pu rencontrer une seconde fois les divers responsables techniques de Plaine Commune, (Eclairage Public, Voirie, Travaux, maintenance), référents techniques fin connaisseurs de notre ville (30 ans de navigation dionysienne, rien que ça.. ), ainsi que les divers Chefs de projets et directeur de quartier municipaux. Toutes ces personnes ont travaillés et travaillent à temps plein sur la plupart des thèmes touchant notre quartier, avec un focus particulier sur le bon déroulement des travaux. L’éclairage est bien souvent une thématique dont l’on sous-estime le potentiel. Or c’est le premier garant d’un usage fonctionnel et agréable de la rue, prenant en compte la notion de sécurité bien sûr mais aussi la clarté de la lecture de cette dernière en définissant des ambiances lumineuses. L’éclairage jette surtout les bases aux autres éléments urbains (mobiliers urbains, support d’affichage, vidéosurveillance). La voirie lui est totalement liée et doit être pensée en totale cohérence car les thématiques traitées sont rigoureusement les mêmes (hiérarchisation de l’espace global, bonne orientation des différents usagers, sécurisation de déambulation de ces mêmes usagers…etc)
Après une première rencontre dans les locaux de la mairie où divergeaient les points de vue quant aux notions de sécurité, d’orientation, de confort, de lisibilité et de mise en valeur de l’espace urbain dionysien, une visite sur place avait en effet été suggérée par les représentants municipaux afin de se mettre d’accord et d’arriver à une analyse commune.
Mais cette seconde rencontre fut rapide.
Rapide est bel et bien le mot approprié, puisque que la réunion ayant été fixée à 19h30, que le personnel de Plaine Commune est arrivé à 19h45, que la réunion a donc débutée à 19h55 et qu’une partie de leur équipe devait se rendre à une réunion de chantier à 20h30, et bien ça laisse (trop) peu de temps (et de considération) pour débattre des sujets éclairage/voirie.
Honorée que l’on me désigne comme guide de cette visite, j’ai tentée d’engager cette dernière autour de trois thématiques qui me semblaient faciles d’illustrer dans l’immédiat et pertinentes (difficile d’être exhaustif, cependant suite à différents recoupements avec les observations d’autres riverains, cela pouvait constituer « un bon début »…)
* LA SECURITE / éternel sujet à St Denis. Coté éclairage, il s’agit essentiellement d’avoir le plus d’homogénéité possible, de bannir les zones d’ombre et les contrastes. D’actualiser l’installation répondant à une demande d’antan à l’usage actuelle de la rue (notamment dans le choix de teintes de la lumière). Coté voirie, il s’agit de la ribambelle de bornes manquantes ou défectueuses, d’un control douteux des circulations de véhicules motorisés, d’une logique dans l’installation des plots, d’un renforcement des zones à proximité des écoles.
* L’ORIENTATION / sujet non spécifique au quartier de la gare. Aucune pancarte d’orientation n’est présente (et on sera peut tenté de demander son chemin à un dealer…), très peu d’affichage informatif sur ce qui se passe dans le secteur (je ne parle pas des prospectus dans nos boîtes aux lettres, mais plutôt du peu d’infos fournis aux passants, ou éventuels touristes occasionnels.) Aucun bâtiment ou élément urbain pouvant faire office de repère ou guide pour s’orienter dans la ville n’est mis en exergue.
* ACCOMPAGNEMENT DES TRAVAUX / un manque cruel d’une sécurisation autour des divers chantiers et une ambiance morose qui donne l’effet d’un abandon total au béton où il faut attendre encore quelques années avant d’oser profiter de cet espace. Un contre-exemple : la palissade du chantier Néo cité, une initiative saluée qui mériterait d’avoir des grandes sœurs…Aucune communication de la ville flagrante sur la mue progressive de St Denis qui fait que les nouveaux arrivés (SFR & co) se barricadent et construisent des clôtures de protection, renforçant inévitablement les clichés déjà persistants sur la ville, parfois exagérés.
SECURITE
Les premiers points soulevés lors de notre première réunion ont été modifiés : des spots ont en effet été rajoutés par ci par là la semaine dernière (« méthode sparadrap »). Cependant, difficile de voir une logique dans les teintes de blancs choisies, on se retrouve donc toujours avec des ambiances différentes et des contrastes. (Même problématique pour la rue de la République et ses rues adjacentes qui sont sous-éclairées, donc glauques… et éclairées en jaune, c’est à dire une couleur qui est normalement à proscrire en espace piétonnier). Delaune nous offre un autre exemple. Derrière l’église on notera un candélabre qui éclaire spécifiquement un passage piéton où presque personne ne passe, que l’on laisse « parce qu’il fonctionne ». (re « méthode sparadrap »). A l’évocation de la problématique de l’église éteinte la nuit qui, par effet de masse assombrit les rues adjacentes, les arguments s’enchainent : – c’est pas de la responsabilité de Plaine Co (VRAI, ceci dit, ça peut le devenir) – les éclairages de mise en valeur devront être éteints à 23h (FAUX! l’heure est fixée à 1h du matin, et il s’agit d’une baisse de puissance et non d’une extinction totale…) – les Architectes des Bâtiments de France vont nous tomber sur le dos. (VRAI! les ABF sont pour la mise en valeur du patrimoine, ils seront donc ravis que l’on sorte enfin des ténèbres une église construite par Mr Viollet le duc qui soit disant passant a juste restauré notre de dame de Paris et notre basilique dans les années 1840, un débutant quoi…Par contre les ABF veilleront à ce que ce type de projet soit fait en toute intelligence) -manque de budget, la Basilique ne trouvant déjà pas de financement sérieux pour son éclairage, cette église est loin d’être une priorité, à oublier donc. (VRAI! Sans juger du mode de fonctionnement comptable de Plaine Co, à mon sens tout est une question de priorité…) Coté voirie, chaque borne nécessite une procédure spécifique, très, mais alors très longue, donc évidement tous les points problématiques sont connus et auront leurs bornes un jour ou l’autre. Patience est donc le maître mot de la gestion de la voirie dionysienne. Toutefois, une borne est d’ores et déjà programmée au 9 décembre 2013 (j’ai bien fait confirmer 2013 et non 2014) à l’angle Renan Dezobry. Une très bonne nouvelle, ça remonte un peu le moral d’un coup. Coté canal, pas de réponse particulière à apporter, il faudra attendre la fin des travaux (la fameuse patience). Les arbres seront élagués pour ne pas obstruer le flux lumineux des têtes de mâts qui arrivent pile poil dans leur feuillage (je ne suis pas spécialiste de la botanique mais cette solution me titille…). Concernant les plots-sièges : rue Renan, des « boulles » devraient être mises en place sur les plots existants. Par observation aléatoire, nos dealers d’E. Renan ramènent très régulièrement leurs propres chaises (un peu de dignité messieurs…) ou restent tout simplement debout. Ce type d’actions aurait peut-être plus d’impact dans des rues voisines. Pour le moment, ce sujet ne s’impose pas comme le priorité.
ORIENTATION
A ma question :
« Quand on sort de la gare RER, comment sait-on où se trouve la Basilique, ou le marché, ou le parc de la Légion d’honneur (bref, le peu qu’il nous reste pour attirer des visiteurs autres que des dealers ou des acheteurs de drogues)? »
Réponse :
« avant les travaux, il y avait bien des pancartes. Elles reviendront ». Je vous laisse apprécier la subtilité de cette réponse.
TRAVAUX
Les représentants municipaux me reprécisent le nombre importants d’interlocuteurs (propres à tous les gros projets de construction par ailleurs …) qui agissent dans ces travaux, eux même ne pouvant que relayer des éventuelles plaintes et assister au triste processus du téléphone arabe, qui fait qu’au final rien ne bougera. La patience sera une nouvelle fois notre amie donc.
Coté éclairage, on m’apprend qu’il est compliqué de greffer des systèmes temporaires sur des systèmes permanents (n’est-ce pas le cas des décorations de Noël ???) Si le système électrique dionysien ne supporte pas le peu de watt de loupiottes supplémentaires, c’est pas rassurant sur l’éventuelle greffe de systèmes de contrôle ou de mesure (par le plus banal des exemples… la vidéosurveillance J)
Quant au mode de communication et d’information sur la mutation de la ville dans l’espace urbain, sachez qu’il existe un budget « animation du chantier » qui n’a encore été attribué à personne, faute d’avoir été sollicité… A bon entendeur…
La réunion s’est donc achevée sur cette ouverture de projet, me laissant pour ma part, un goût amère sur la gestion globale et pourtant essentielle de l’espace urbain et le bien fondé de tous ces travaux.
A –t-on clairement prit en compte que le quartier de la gare compte parmi les hauts points de trafic de drogue de la région (et ce ne sont pas de « simples »fumeurs de joints dont il est question mais bien de crack et autre drogues dures) avec des trafiquants vissés sur certains trottoirs qui seront difficiles à décourager ?
Est –on conscient que l’image dont pâtie St Denis depuis des décennies encourage une partie de la population et des usagers à perdre toute notion de ses bonnes manières (l’éternel problème de la propreté…) ?
Les futurs habitants des nouveaux logements sociaux ainsi que des diverses rénovations d’immeubles insalubres trouveront-ils une place dans les structures actuellement saturées (écoles, emploi, etc…) ?
La gestion des voitures, qui ont à St Denis, une propension à envahir n’importe quels m² disponibles, que ce soit des espaces piétonniers ou non, sera-t-elle bien gérée ? Pourra-t-on un jour prétendre circuler en toute sécurité à St Denis, à pied, en vélo, en voiture ?
Les images de synthèse diffusées sur le site de la ville avec un beau tramway, des immeubles flambants neufs, ou l’on se croirait volontiers dans une petite ville de province insouciante, ne sont-elles pas une utopie jamais atteignable à St Denis ? Personnellement j’y rajouterai volontiers quelques vendeurs de maïs, des voitures garées çà et là, une foules de gens grouillant dans tous les sens et un bon kebab tous les cinq mètres, ça collerait déjà un peu plus à la réalité.
Des habitudes sont là et ce n’est pas en changeant un vieux pavé par un tout neuf qu’elles disparaitront. Cette ville mérite mieux qu’une analyse urbaine standard, tout simplement parce qu’elle n’est pas standard. D’autres villes se sont déjà posé la question : New York, Rio…etc. Est-ce que pour une fois St Denis ne pourrait pas innover en la matière ? Est-ce indécent d’attendre une plus-value de ces travaux et des réflexions qui les encadrent ?
D’ailleurs, si je ne m’abuse c’est bientôt l’heure des municipales, des idées doivent bien circuler… A vos propositions !
Bonne lecture!
Popita
Après la lecture de ce compte rendu, j’arrive encore à être ébahie par ces « personnes » qui gèrent cette ville. Et franchement j’en ai déjà entendu ….
Merci Popita pour ton travail et ton investissement ! Il faut vraiment du courage et de l’abnégation pour discuter avec de tels énergumènes …. Ouf, c’est l’heure des municipales !!!
Par contre les panneaux qui indiquent le parking porte de Paris (détruit depuis des années) sont toujours en place. S’il rouvre un jour ça aura fait des économies. Ceci dit l’absence de signalisation et les panneaux qui vous envoient dans la mauvaise direction sont communs à toute la banlieue. Volonté de tromper l’ennemi? (le bobo qui en plus a une voiture!)
Bonjour, merci pour ce compte-rendu. Peut-être cette visite était-elle préparatoire à la réunion démarche quartier de la semaine prochaine, c’est pourquoi elle a été courte. http://ville-saint-denis.fr/jcms/jc… , j’espère que nous y aurons des réponses plus approfondies.
Ce qui est surprenant, c’est qu’il n’y ait personne pour assurer la cohérence d’ensemble de ces projets comme c’est généralement le cas, mais il me semble qu’un certain Stéphane Peu est responsable du quartier à la Ville et des projets urbains à l’agglo.
Par contre je ne trouve pas le visuel dont parle Popita sur le site de la ville, vous pouvez me mettre le lien ? Merci !
PS : une idée peut-être, celle de demander pour Sans Crier Gare une partie des fonds destinés à l’animation du chantier ?
@ Mat 77
Cette démarche, même si elle est parallèle au principe de la démarche quartier, se voulait dépasser le statut de rencontre élus-habitants, en creusant du côté technique, d’où la présence d’une poignée de Plaine Communiens … L’idée étant par ailleurs d’accompagner les projets en cours et la maintenance actuelle des diverses installations par des remarques, des suggestions, avec une portée à court et moyen terme. Comme tout projet, un urbaniste, un architecte, des spécialistes se sont penchés sur les grands axes de ces divers chantiers. La marge d’action n’est donc que périphérique, elle n’en reste pas moindre pour autant lorsque l’on s’aperçoit que des détails aussi troublants que l’absence totale de panneaux d’indication ont échappé à ces messieurs…
La démarche de l’équipe municipale, qui était représentée à mes deux entrevues me semble plus propective. Il y a une vraie écoute, une confrontation de points de vue et les échanges étaient à chaque fois constructifs; tout du moins, on a cherché à ne pas me laisser dans une impasse, ce qui est déjà pas mal. Ceci dit, chacun son rôle dans une ville. Certes la mairie est chef d’orchestre du quartier mais elle délègue ses actions par le biais d’une équipe technique. (comme dans toutes les villes) Or c’est cette dernière qui est l’actrice quotidienne dans notre quartier. Ce sont les Plaine Communiens, qui fort de leur expérience, doivent détecter les points sensibles sur le terrain, les régler autant que possible, et prévenir les prochains. Ce sont eux qui guident la mairie dans les choix techniques, esthétiques et normatifs.
C’est aussi avec eux que la communication a été la plus biaisée… Et ce sont eux qui sont partis ensuite en rdv de chantier, les deux personnes de la mairie étant restées plus longtemps avec moi pour continuer notre échange.
Vous comprendrez donc ma frustration en tant que professionnelle et non pas juste en tant qu’habitante. Pour avoir rencontré et travaillé avec des services techniques de grandes villes (Lilles, Colmar, Lyon) c’est la première fois que je me confronte à des personnes aussi fermées et certes j’aurais peut -être due faire preuve de plus de patience, mais mon action n’étant que bénévole, la dépense d’énergie a ses limites. Certes des réponses sont faites, mais elles ne sont pas cohérentes (et c’est quand même un peu vexant qu’on vous les fasse en pensant que vous aller gober ça tout sec, je préfèrerais presque qu’on ne me réponde rien…)
Coté visuels, en voici deux:
http://ville-saint-denis.fr/jcms/up…
http://ville-saint-denis.fr/jcms/up…
Coté subventions, j’imagine qu’elles sont destinées à un projet. Et un projet, il faut le construire.
En tant qu’habitante du quartier gare, j’ai l’impression de rencontrer plus de passants que mes propres voisins. Il y a un tissus associatif dense (scg mais d’autres aussi), des pépinières d’artistes dans chaque coin (la briche, 6b etc), des gens sympa et d’horizons variées, plus tout ce dont je n’ai pas encore connaissance, mais tout ça ne transparaît que peu dans l’espace urbain. Le thème des travaux pourrait être un fil conducteur intéressant pour mutualiser le temps d’une journée, d’une semaine, une dynamique de quartier. C’est pas rien d’avoir un chantier, mais ça peut aussi être l’occasion de formaliser des rencontres et des formes d’expressions. Le tout est de formaliser ceci par le biais d’un projet, les idées les plus simples étant souvent les meilleures…
Des petites villes de province (comme Rodez, Vittel) ont des transits journaliers dix fois moindres que celui de la gare de Saint-Denis (70000 voyageurs par jour), avec des batiments voyageurs quatre fois plus grands. Le Stif, la Sncf et Rff sont chaleuresement invités à agrandir ou améliorer le batiment voyageurs de la gare dionysienne.
@ habitant_saint_denis : pourquoi cette impatience ? il parait que c’est prévu, ainsi que la mise en conformité de l’accessibilité des Personnes à Mobilité Réduite… en 2017 !
Pour info, si votre activité professionnelle vous amène à accueillir du public, parce que vous êtes boucher, boulanger, dentiste, etc… c’est en 2015 qu’il faudra vous mettre en conformité !
Comme quoi, on marche sur la tête : tellement de services publics incontournables sont incapables de respecter des dispositions règlementaires que des micros-structures sont dans l’obligation d’appliquer.
c’était une parenthèse énervée !
@popita : pourquoi n’est-il fait aucune mention des commentaires peu amènes qui ont été proférés par tes interlocuteurs sur notre association « d’emmerdeurs » ? Par ailleurs, bravo de ton engagement et des informations que tu nous apportes sur des spécificités liées à l’éclairage public qui semblent totalement exotiques pour les « sachants » qui gèrent notre quotidien avec le succès que l’on sait…
« Mais cette seconde rencontre fut rapide.
Rapide est bel et bien le mot approprié, puisque que la réunion ayant été fixée à 19h30, que le personnel de Plaine Commune est arrivé à 19h45, que la réunion a donc débutée à 19h55 et qu’une partie de leur équipe devait se rendre à une réunion de chantier à 20h30, et bien ça laisse (trop) peu de temps (et de considération) pour débattre des sujets éclairage/voirie. »
Elle doute de rien POPITA 🙂 des fonctionnaires qui se retrouvent un soir rien que pour entendre POPITA leur expliquer qu’ils sont incompétents et que c’est elle POPITA, qui sait de quoi elle parle ! et en plus ils la laissent à 20h30 pour aller à une réunion de chantier !
je veux bien que leur boulot soit aussi d’entendre les griefs des riverains…. mais abuser à ce point du temps des agents…. c’est du détournement d’argent public.
et surtout pas modeste la POPITA :
« Pour avoir rencontré et travaillé avec des services techniques de grandes villes (Lilles, Colmar, Lyon) c’est la première fois que je me confronte à des personnes aussi fermées et certes j’aurais peut -être due faire preuve de plus de patience, mais mon action n’étant que bénévole, la dépense d’énergie a ses limites »
POPITA, ton sens du don de toi t’honore, on devrait t’élever une statue !
tracteur rouge
Aujourd’hui nous sommes le 9 décembre 2013, vous vous demandez tous à quoi ressemble notre borne promise au croisement Renan-Dezobry… et bien, … à rien bien-sûr !!! Pas de trace de borne, ni même un petit trou… Merci les loulou de nous avoir fait rêver le temps d’une soirée… et oui, le père Noël n’existe définitivement pas.
@ Reno : Revendiquer = emmerder ? 😀 dixit le Larousse : revendiquer , c’est réclamer ce à quoi on estime avoir droit, notamment un avantage social. Et emmerder c’est importuner, déranger ou contrarier fortement (quelqu’un). Ah oui, oui, on emmerde peut -être un peu finalement, mais c’est involontaire de notre part, non? Parce qu’au fond on fait juste ça parce qu’on est attaché à cette ville … (chacun sa drogue)