Le JSD face à l’islamo-gauchisme

Le JSD a connu une crise majeure avec la démission de son rédacteur-en-chef Yann Lalande le jeudi 12 novembre :
Article JSD : L’édito auquel vous avez échappé
La presse nationale a repris l’information car il est rare qu’un rédacteur-en-chef soit poussé à démissionner du fait de l’attitude de sa rédaction.
Voici trois extraits qui permettent de rappeler les faits :
EXTRAIT du « Figaro » du 19 novembre
Un incident avec la rédaction serait survenu dans les jours suivant l’assassinat de Samuel Paty, le 16 octobre dernier. À son retour de congés, Yann Lalande aurait désapprouvé le traitement minimaliste de l’affaire, et les choix éditoriaux faits en son absence. Le 28 octobre, le directeur aurait proposé un éditorial à sa rédaction pour revenir sur le sujet. Ayant pour titre « De l’esprit munichois », le texte qualifie l’islamisme de « projet fascisant » mais précise que « dans leur grande majorité les musulmans de Saint-Denis et d’ailleurs pratiquent leur religion dans le respect des lois. Il n’y a donc aucune raison de craindre l’amalgame » ajoute-t-il notamment. Malgré cet équilibre, le texte aurait amené certains journalistes à s’opposer de façon virulente à Yann Lalande, entendant donner à l’attentat un caractère de « fait divers »
EXTRAITS de « Marianne » du 19 novembre
Après l’attentat contre Samuel Paty, son éditorial sur « l’esprit munichois » avait été refusé par plusieurs collègues. « Ça fait un bon moment que ça mijotait », nous confie Yann Lalande. Finalement, la marmite a débordé. Arrivé en septembre 2017 pour prendre la tête de la rédaction du Journal de Saint-Denis (JSD), le journaliste trentenaire va quitter son poste début décembre. En cause : l’influence croissante des idées d’une gauche identitaire venant interférer avec le travail journalistique, et un incident autour d’un éditorial après la mort de Samuel Paty. (…)
Le futur ex-rédacteur en chef de l’hebdomadaire s’attaque, plus précisément, à l’idéologie défendue par certains de ses collègues : « Le paradoxe de l’époque fait qu’au JSD sur certains sujets, la censure ne vient pas de l’extérieur mais de l’intérieur. Elle est le fait de cette gauche qui passe son temps à dire ce qu’il ne faut pas faire, ou ce qu’il ne faut pas dire plutôt qu’agir. Cette gauche et sa collection de “cheveux à couper en quatre”, minée par son individualisme forcené. Cette gauche qui vole de chapelle identitaire en chapelle victimaire, sans pouvoir ne plus rien assumer d’autre discours collectif que le “nous sommes tous différents”. Cette gauche enfin qui essentialise chacun et chacune. »
EXTRAIT de « Charlie Hebdo » du 18 novembre
Sur le site internet du JSD, « L’édito auquel vous avez échappé » fait réagir les lecteurs. Les soutiens à l’éditorialiste sont nombreux et certains dénoncent même la mainmise des journalistes « indigénistes » au sein du JSD. Yann Lalande, lui, s’inquiète de la confusion intellectuelle chez les plus jeunes des journalistes du JSD et des influences américaines calquées sur la société française. Le départ de cet ardent défenseur des valeurs républicaines, mais aussi de la lutte contre le racisme et contre l’islamisme, n’est pas une bonne nouvelle pour les lecteurs dionysiens.
Article CharlieHebdo.fr : Au Journal de Saint-Denis la censure vient de l’interieur
Une lente mais profonde dégradation des valeurs républicaines
Le JSD a été conçu au départ, à l’époque Braouezec, comme un journal de propagande subtile, permanente et insidieuse au profit des municipalités communistes. La démarche était plus intelligente que les traditionnels journaux municipaux qui ne font pas dans la finesse en général (quoiqu’ils soient, eux, encadrés par des règles strictes de pluralisme permettant au moins aux groupes d’opposition d’y faire publier des tribunes…).
C’était habile et, sauf en périodes électorales, on pouvait avoir l’illusion que le JSD se consacrait à l’information des dionysiens. Illusion car, numéro après numéro, c’était la petite musique du soutien à la municipalité communiste, aux associations amies et aux personnalités locales proches de la municipalité. Seules les pages sports et parfois culture échappaient à ce filtrage politique de l’information locale.
Avec l’alliance entre le PC et les « insoumis » locaux ralliés à l’islamo-gauchisme, le JSD s’est fait de plus en plus le relais des initiatives des indigénistes du PIR et surtout il a évité tout sujet en rapport avec la montée de l’islamisme. Cela s’est accentué avec la présence de « journalistes » proches des indigénistes et qui reprenaient sans aucun recul journalistique, ni même la moindre vérification, les propos du conseiller municipal indigéniste Madjid Messaoudene.
La situation à laquelle s’est confrontée le rédacteur-en-chef Yann Lalande est le résultat de la la lente dégradation des valeurs républicaines au sein de la rédaction du JSD et du laisser-faire (pour ne pas dire complicité) des municipalités en place jusqu’en 2020.
Qu’en sera-t-il avec la nouvelle municipalité et le nouveau maire ? Le JSD n’existe en effet que par la très importante subvention annuelle versée par la ville à l’association gestionnaire.
Scandaleuse cette posture politique de quelques pseudos journalistes de cette rédaction. Le JSD n’est pas aujourd’hui un journal d’opinion.
Ces gens sont avant tout des militants de causes utopiques et dangereuses qu’il faut combattre. Leurs idéologies indigénistes, décoloniales, racialistes et autres chimères qui prétendent réécrire l’histoire, faire changer la sémantique ne sont que des théories fascistes qu’ils rêvent de nous imposer. Ils sont à mon sens aussi nauséabonds et nuisibles que l’étaient les chemises brunes des années 30.
Le résultat de leur attitude risque de conduire à la disparition du JSD qui avait trouvé de la tenue et de l’allure avec l’arrivée de Monsieur Lalande. Mais peut être était ce leur but que de faire disparaitre un organe d’information ?
Ces misérables apprentis dictateurs n’ont rien à faire de la population, à leurs yeux, seuls eux sont importants. Ils se moquent de celles et ceux attachés au rendez vous hebdomadaire de leur journal d’informations locales qui risquent de perdre ce lien.
La nouvelle municipalité a tranché et met fin à l’expérience d’un pseudo-journal « indépendant » financé pour l’essentiel et à grand frais par la ville !
Conseil Municipal du 17 décembre :
La municipalité ne renouvellera pas en 2021 la subvention à l’association « Communiquer à Saint-Denis » éditrice du JSD. Il n’a pas été possible de trouver un ou une remplaçante à Yann Lalande.
De plus, le problème des liens juridiques étroits entre la Commune et l’association dénoncés par deux rapports successifs de la Chambre régionale des Comptes n’a pas pu être résolu.
Enfin, la dépendance financière de l’association dont plus des trois quarts des ressources émanées d’une subvention de la ville pose de potentiels risques juridiques en matière de code des marchés publics.
Donc la municipalité va mettre un terme à la subvention municipale et voir comment peut être envisagé d’autres formes d’information.
le jdd etait unjournal de propagande communiste heureusement depuis hanotin la ville devient plus propre il y a aussi des toilettes mixes on ignore plus les femmes on se sent mieux continuez monsieur le maire rendez nous notre ville avec des commerces classiques
Qui a vraiment tué le Journal de Saint-Denis ?
« Charlie Hebdo » le 28 décembre 2020
Les soubresauts n’en finissent pas au Journal de Saint-Denis. Après la démission du directeur de la rédaction qui n’avait pas pu diffuser un édito engageant tout le journal contre l’islamisme politique après le meurtre de Samuel Paty, la municipalité socialiste a décidé de supprimer la subvention publique au journal, hypothéquant gravement ses chances de survie. Le 13 janvier 2021 devrait être le dernier numéro du journal dionysien.
À qui la faute ?
https://charliehebdo.fr/2020/12/societe/qui-a-vraiment-tue-le-journal-de-saint-denis/
Il était temps que certains de ces prétendus journalistes soient renvoyés à leur médiocrité et leur idées nauséabondes. Il devenait urgent que le JSD s’arrête avant de sombrer totalement dans le racialisme et l’islamo-gauchisme !
Quand on lit les témoignages de membres de la rédaction du JSD sur certains de leurs « collègues » rapporté par cet article de « Charlie Hebdo », on est effaré :
« Entendre que le meurtre de Samuel Paty est un « fait divers terroriste » en faisant référence à un sociologue qui aurait inventé ce concept fumeux, était devenu insupportable, nous expliquait, il y a quelques semaines, Yann Lalande lui-même. Au JSD, la scission semblait donc bien consommée entre deux tendances. « On a aussi eu droit aux propos racialisé du genre : « Tu es un homme blanc, je suis une femme noire » ou bien « tu confonds musulmans et islamistes » », précise encore notre interlocutrice très remontée contre ces remarques.
Et, quand Yann Lalande évoquait dans son édito (non paru) « le fascisme islamiste » , une jeune journaliste lui a fait la leçon, en lui disant qu’il n’était pas possible d’écrire ça au prétexte que le fascisme est italien, poursuit notre informatrice. « Quand je lui ai dit de regarder la définition d’usage dans le dictionnaire elle m’a répondu : « le dictionnaire est idéologique ». Cette jeune génération de journalistes, censée être cultivée et ouverte, est totalement phagocytée dans ces idéologies indigénistes et racialistes ».
Désespérant et, à la longue, mortifère, comme le prouve l’enterrement à venir du Journal de Saint-Denis. «
Pourquoi toute une équipe devrait-elle faire les frais de la bêtise crasse de deux collègues ? Ne fallait-il pas les éloigner du journal voire les renvoyer sur les bancs de l’école en « formation obligatoire » pour leur passer l’envie de raconter des inepties. Une petite cure de désintoxe en quelque sorte car ils semblent en tenir une sacrée couche.
Dire qu’en plus les 2 fossoyeurs du journal ont eu l’outrecuidance d’initier une pétition, on se dit qu’on est en pleine schizophrénie ! Mais c’est un peu la spécialité des indigénistes de nous la faire systématiquement à l’envers : les bourreaux deviennent des victimes ! De bien piètres journalistes, une imposture !
Au delà des prises de position sectaires ,de la demission du rédacteur en chef du journal,de la suppression de la subvention ,nous ne pouvons que constater et déplorer l’absence de toutes les informations pratiques sur la ville depuis la disparition du journal.Toute la population n’a pas forcément accès aux moyens de communication numérique !
C’est ainsi par exemple, que nous n’avons pas eu droit de prendre connaissance des voeux du maire !!! Ce qui était une tradition. Nous ignorons, en l’absence d’un document papier ,les mesures prises par la mairie en matière de vaccination covid….Nous étions dans la précédente mandature « noyés « par les différents tracts municipaux et maintenant il n’y a plus rien ! La mairie doit revoir son plan de communication et prendre en compte la diversité de la population dans ses moyens d’accès aux informations municipales.
ce journal etait politique et coutait trop cher mieux vaut s occuper de la propreté de la ville et changer certains commerces retrouver un peu notre culture en respectant aussi celle des autres citoyens