Le Parisien :15 t de déchets nettoyées à Saint-Denis

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3 réponses

  1. Bel-Air dit :

    Parfaitement Bill, c’est très positif! Et je voudrais rajouter que personne ne naît pour vivre dans les détritus et que ce n’est certainement pas par amour de la crasse que certains se retrouvent dans des situations qui donneraient un haut-le-coeur à n’importe qui… On baisse les bras parce-qu’on n’en peut plus et on rentre dans un système de survie qui amène à des extrêmes bien au-delà de nos références habituelles. Ceci dit le problème est en effet toujours le même : soutenir un système sous couvert d’être anti-système, est-ce bien là le rôle d’une mairie ?

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  2. reveplus dit :

    Belle initiative mais comme bill c’est responsabiliser tous les habitants et ce qui passe dans notre ville , peut être un système d amande ? qui serais peut être dissuasive ? que les elus puissent ce reveiller quel image de cette ville ?

    comme le dit Sam sais que les campement sauvage quel hygiène pour ce qui vivre dans ces camps ? quel risque sanitaire ?

    Observatoire régional de santé d’Île-de-France
    Situation sanitaire et sociale des « Rroms migrants » en Île-de-France

    Une forte prévalence des maladies infectieuses, notamment de la
    tuberculose, due aux conditions de vie
    La très grande promiscuité qui existe sur les lieux de vie des populations rroms et la faible
    couverture vaccinale chez les adultes et les enfants (voir en page 80) favorisent nettement la
    contagion et les épidémies. Dans une étude effectuée par E. Henriot sur le bidonville du Hanul
    (Saint-Denis, 93), l’auteur décrit une configuration urbaine très propice à la promiscuité :
    différentes « maisons », dont certaines regroupent des familles de dix personnes dans une
    surface de moins de trente mètres carrés, précisant aussi que les quatre-vingts « maisons » qui
    composent la « rue » sont accolées et alignées212
    .
    Parmi les infections fréquemment évoquées par les professionnels sanitaires et sociaux, les
    acteurs associatifs ou les responsables de collectifs, on peut citer : la rougeole, la coqueluche, la
    galle, les dermatoses, la conjonctivite, les gastro-entérites, les parasitoses intestinales, la grippe.
    Les prévalences élevées des hépatites (B et C) sont également mentionnées par certains acteurs
    de santé, ce qui correspond aussi à l’épidémiologie du VHB et du VHC en Roumanie, avec des
    prévalences de 5% environ contre moins de 1% en France.
    La tuberculose constitue aussi un problème majeur de santé publique parmi ces populations.
    Prévalence élevée de la tuberculose parmi les Rroms
    La Roumanie est l’un des pays d’Europe (avec la Russie et la Moldavie) dans lequel l’épidémie
    de tuberculose est la plus élevée, bien qu’en diminution depuis 2000. En 2009, la prévalence de
    la tuberculose dans ce pays était estimée à 168 pour 100 000 habitants et son incidence à 125
    pour 100 000213
    . À titre de comparaison, l’incidence en France était de 8,2 pour 100 000
    habitants en 2009214, avec, néanmoins, de fortes disparités territoriales. Pour cette même année,

    http://www.ors-idf.org/dmdocuments/

    Bilan 2006 de la gestian des maladies à declaratian
    k obligatoire en Seine- Saint-denis
    http://www.cdom93.fr/fichier/t_down

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  3. Fabien dit :

    Personnellement, au quotidien (notre ville étant une poubelle géante), je ramasse quelques déchets au sol pour les porter à la poubelle la plus proche (lorsqu’elle a été vidée…) entre chez moi et le métro.
    Bon, je le fais tous les jours, mais il y’en a chaque jour davantage.
    Et ce n’est pas une minorité qui contribue à dégrader les espaces publics. C’est plutôt une très faible minorité qui les respecte…

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