On évite de justesse la marche blanche …

Un enfant de 8 ans a été violemment percuté par un scooter mardi rue de la République.
Alors qu’il rentrait chez lui, 2 jeunes en scooter ont traversé à pleine vitesse la place des Tilleuls. Malheureusement, le jeune garçon se trouvait sur leur passage et il a volé. Résultat : multiples fractures à la mâchoire, fracture du crâne et multi-traumatismes sur le corps. Après plusieurs heures d’opération, les médecins ont pu rassurer les parents, de longues semaines à venir pour récupérer mais aucune séquelle au cerveau.
Du côté des jeunes, qui sont également tombés suite à la violence de l’impact, ils ont eu le minimum de décence de vérifier que le garçon était vivant, puis l’un s’est empressé d’aller cacher le scooter et l’autre, après quelques minutes à s’énerver contre les gens qui s’attroupaient, s’est éclipsé également. L’absence de caméra (c’est vrai, à quoi bon, cette place est tellement tranquille d’ordinaire, on ne comprend pas…) fait que ces jeunes ont de bonnes chances de s’en sortir…
Cette fois-ci, on a échappé à la marche blanche organisée par la mairie et heureusement. Le sujet devait être discuté en conseil municipal hier. Est-ce que d’avoir frôlé le drame (dans le sens où l’enfant va s’en remettre car inutile de dire que la famille est très choquée et que cet accident laissera des séquelles psychologiques) sera suffisant pour que la mairie prenne enfin ses responsabilités et accepte que les rodéos de scooters place du Caquet, rue de la République et en règle générale tous les endroits piétons, soient enfin sanctionnés ?
Les Dionysiens ont aussi le droit de vivre en paix dans leur ville. Les parents ne devraient pas être effrayés que leurs enfants fassent seuls un parcours piéton en plein centre ville de 5 mn. En laissant toute liberté aux petits et jeunes délinquants, en les laissant imposer leurs règles aux Dionysiens en toute impunité, on leur trace la voie pour devenir de grands délinquants. Et au passage, c’est la vie de ceux qui tentent de vivre normalement dans cette ville qui peut être brisée.
M. Le Maire et les conseillers municipaux, évitez que le prochain drame se solde par la mort d’un enfant, donnez des consignes strictes aux policiers municipaux pour que les zones piétonnes soient respectées et que l’occupation de certains jeunes ne consistent pas à narguer la PM en faisant des roues arrières sous leur nez au milieu des habitants et des poussettes. L’anarchie, chère à certains d’entre vous, ne permet pas le vivre ensemble dans notre ville.
On souhaite beaucoup de courage à la famille et surtout à leur garçon (qui a démontré à cette occasion qu’il n’en manquait pas !) et surtout bon rétablissement.
On espère que ce grave accident marquera un vrai changement de mentalité du côté de la mairie et plus d’actions pour la PM.
Bill
Mise à jour le 8 février avec la Lettre ouverte au Maire de St Denis de l’association Vélo à St Denis :
Lettre ouverte à Didier PAILLARD, maire de Saint-Denis
Zones piétonnes, pour la sécurité et la liberté des plus faibles
Le 26 janvier dernier, Joseph, 8 ans, a été renversé par un motard alors qu’il circulait tranquille- ment à vélo, à côté de son père, sur la rue de la République zone piétonnière. Une mâchoire cas- sée, une fissure du nez… plusieurs jours d’hospitalisation…
Jusqu’à quand acceptera-t-on que le soit-disant espace piéton du centre ville soit, en réalité, une jungle où règne la loi du plus motorisé et du plus menaçant ?
Depuis toujours et régulièrement, Vélo à Saint-Denis alerte sur la dangerosité des déplacements à vélo (mais également piétons) dans Saint-Denis et sur l’hypocrisie qui consiste à qualifier le centre ville « d’espace à priorité piéton ». Nous le constatons chaque semaine au travers des témoi- gnages des personnes venues apprendre à faire de la bicyclette à notre vélo-école, Saint-Denis est une ville résolument hostile aux déplacements doux.
Vélo à Saint-Denis dénonce le double-discours des élus, un jour favorables aux déplacements doux quand la COP 21 est à l’honneur, et dès que la page est tournée, partisans d’un espace pu- blic « partagé » refusant – de fait – toute mesure de protection des plus faibles. Pour ces derniers : les enfants, les personnes à mobilité réduite, les personnes âgées, les piétons et les cyclistes… se déplacer dans la ville signifie courir un réel danger.
Quel parent n’a-t-il pas frémi en entendant une moto dans son dos sur un trottoir ou une rue pié- tonne et senti la main de son enfant se serrer de peur lorsqu’elle arrive sur eux ? Comment peut-on laisser des engins motorisés (motos, scooters, quand il ne s’agit pas de mini- motos ou d’engins de moto-cross) pénétrer dans des espaces censés réservés aux piétons, comme la Rue de la République, ou la place du Caquet via le passage des Poulies ou le goulet entre les deux Mairies alors même qu’ils sont insuffisants pour la seule circulation piétonne ?
Vélo à Saint-Denis dénonce l’insécurité dans l’espace public et l’absence de mesures pour pacifier la ville et faire respecter la liberté et la tranquillité des plus faibles. En attendant, Joseph n’est pas prêt à remonter sur son vélo pour se déplacer dans St-Denis ! Quelle leçon d’éducation civique… et du bien vivre ensemble !
Vélo à Saint-Denis, le 3 février 2016
Chaque parent vivant proche de cette zone va se retrouver dans ce sordide fait divers…
Qui n’a jamais vu ces scooters faire ce qu’ils veulent dans ces zones piétonnes. Oui, ces chauffards devraient être systématiquement verbalisés.
Plein de courage à cet enfant, j’espère qu’il ira vite du mieux possible et qu’il n’aura aucune séquelle de cet accident. Amitiés aux parents,
(Par ailleurs, j’espère qu’on va tout mettre en oeuvre et qu’on retrouvera ces délinquants qui sont en plus coupables d’un délit de fuite)
Il faut voir avec B. Bagayoko et co. qui nous refuse les caméras et qui se dit protecteur de la jeunesse à St-Denis…l’un ne va pas sans l’autre. Pour habiter proche de la place des tilleuls, les agressions et le deal de crack y sont quotidien. Encore la semaine dernière un prof de philo. s’est fait agressé et dépouillé. Il disait ne pas vouloir porter plainte…
quand je lis ces commentaires je suis écoeurée,je n’en peux plus de vivre dans cette ville.goldo
En centre ville, il faudrait absolument verbaliser pour que les deux roues et les voitures circulent au pas et interdire les rodéos , j’en ai la chair de poule et suis de tout cœur avec le petit jeune qui a été percuté et toute sa famille: mon soutien total
@goldo : en quoi les commentaires – dont le mien donc – sont-ils écoeurants ?
Il y a quelques années, une petite fille a été tué par un motard à coté de carrefour..
Est-ce que cette mairie a pris des mesures contre les rodéos en centre ville, bien sur que non, je ne vois pas pourquoi elle en prendrait aujourd’hui. Les seules mesures que Paillard et Braouzec ont pris pour renforcer leur sécurité, c’est d’emménager à 50m du commissariat de la plaine.
Il a fallu des années pour que la municipalité, sous la pression des habitants, accepte l’existence d’une Police municipale, et une fois créée tout a été fait pour minimiser ses effectifs et ses fonctions. Les promesses de son renforcement éventuel n’ont pas été tenues (mandat précédent) ou tardent à venir sous des prétextes divers (voir, encore, le conseil municipal de ce jeudi 28 janvier 2016).
Quant aux cameras de vidéosurveillance enfin promis par Paillard (pour grapiller des voix afin d’assurer sa réélection en 2014), l’opposition forcenée de Braouezec, Bagayoko et autres Messaoudene et le manque de volonté du maire font que celles-ci n’apparaîtront qu’en 2016, peut-être…, et à petite échelle (47 prévues seulement pour toute la ville).
Une caméra est prévue pour la Place des Tilleuls mais pour quand ?… En attendant depuis des années, cette Place est identifiée comme un lieu de « prostitution, trafics, troubles à l’ordre public ». L’accident terrible subi par cet enfant n’est certainement pas une fatalité : les auteurs de « rodéos » savent parfaitement qu’ils peuvent agir en toute impunité. En cela, ils peuvent être reconnaissants à Paillard, Braouezec, Bagayoko et à leurs amis opposés aux mesures nécessaires de protection des dionysiens.
Concernant les promesses municipales, il a été annoncé que l’effectif de la police municipale devrait passer à 54 agents fin février, en réponse à une question du groupe PS hier soir au Conseil (voir vidéo).
Dommage que les affirmations faites par un publi-reportage, il y a deux mois, du groupe de BTP « SDC », dans le JSD, sur la sécurité et la police municipale ne soient pas tenus. On y assurait que Saint-Denis s’était « dotée de moyens importants pour répondre aux besoins croissants de sa population » et il était même affirmé que « les effectifs de la Tranquillité publique » comptait déjà « 60 agents de police municipale »…
Hélas ! Ce n’était que de la publicité ! En sera-t-il de même pour les modestes 54 agents promis très officiellement hier soir ?
@Gabriella
j’ai du mal m’expliquer ce ne sont pas les commentaires qui sont écœurants mais ce qui se passe, Désolée de cette mauvaise formulation.goldo
Ca yest, ma requête au Tribunal Administratif est prête a partir. voici l’adresse, si cela intéresse quelqu’un, c’est gratuit..
tribunal Administratif 7 rue Catherine Puig 93558 Montreuil
Concernant affligent
Pense a la famille de ce petit garçon , courage a lui et un bon rétablissement
cela ne changera rien cela fait des années et la mairie reste sourde et fera au prochaine encore de fausse promesse pour obtenir de voix ,
Brafman s’est fait agressé il y a quelques mois ds le parking de sa résidence, l’agresseur est rentré tranquillement chez lui. Brafman a convoqué la BAC chez lui (2 poids 2 mesures), celui qui est un opposant farouche aux caméras et à la sécurité. Il a passé des semaines lui et sa femme a interrogé les personnes qui se trouvait près de chez lui pour connaitre l’identité de l’agresseur, il n’a jamais eu de réponse, pas à ma connaissance. Une seule caméra aurait pu donner l’identité de l’agresseur car les gens ont bien trop peur des représailles.
Sinon les rodéos de scooter continue tranquillement autour de la place des tilleuls comme avant..
Ce message malveillant et calomnieux visant nommément une personne appelle une mise au point et une seule afin d’éviter une démarche légale. Je souhaite d’ailleurs que le webmaster soit plus attentif à ce genre de mise en cause.
Juste le rétablissement des faits vérifiables : L’agression dont j’ai été victime le 11 mai 2015 s’est faite en début d’après-midi dans le contexte d’une activité citoyenne : en tant que président du conseil syndical, rappeler les règles du jeu dans une copropriété à une personne étrangère à la résidence et qui s’y était introduite. Aidé par un autre jeune ils se sont acharnés sur ma personne (Près de 70 ans) devant des témoins qui me sont venus en aide pour faire cesser les coups.
Un des deux a été arrêté, le voisinage ayant appelé la police municipale. L’autre a pu partir tranquillement sans être intercepté par certains riverains restés passifs. Les 2 voyous étaient sans doute des dealeurs (Le procureur l’a confirmé pour celui qui a été arrêté) qui planquaient et se connaissaient.
J’ai dû me rendre, le visage tuméfié et ensanglanté, au commissariat pour déposer plainte, être confronté à celui qui a été arrêté. Puis aller à l’unité de médecine judiciaire d’Argenteuil puis à l’hôpital de Saint-Denis pour des soins plusieurs heures après les évènements et une attente aux urgences jusqu’à minuit.
C’est le seul contact que j’ai eu avec la police et jamais la BAC qui aurait été « convoquée » (Sic). Le tribunal de Bobigny a convoqué l’agresseur deux fois (Il n’avait pas d’avocat la première) et a prononcé, en son absence le 20 janvier 2016 une peine d’un mois de prison ferme.
J’ai eu l’information dès l’évènement de la part de quelques personnes fréquentant le quartier que le deuxième agresseur le plus violent en était familier. J’avais ainsi que ma femme la conviction -je l’ai toujours- qu’il était connu par certains. En l’absence d’enquête de la police j’ai cherché à savoir, dans le dialogue avec des familiers et de personnes fréquentant le « petit village » autour de chez-moi , de qui il s’agissait. Je n’ai pas eu de réponse précise, seulement des orientations. Je pense savoir qui c’est mais sans preuve, je ne peux aller plus loin ; au moins l’intéressé ne fréquente plus le quartier. Les témoins et moi le reconnaitraient. Je garde à l’esprit qu’il s’est échappé et n’a pas assumé ses responsabilités en laissant seul son comparse être condamné.
Aucun passe droit dans tout cela, bien au contraire une volonté d’affronter pacifiquement jusqu’au bout les tenants et aboutissements d’une agression. En bénéficiant de la solidarité de ma famille, des résident-e-s, de certain-e-s riverains. Et de l’intervention normale des services de police et médicaux.
Loin du scénario vraiment malveillant d' »Habitant » qui se cache derrière un pseudo, nous avons eu des démarches citoyennes, de dialogue avec les forces de police et une volonté, à visage découvert, de ne pas laisser faire ces actes violents et de s’y opposer pacifiquement collectivement.
Il n’y a plus, actuellement, d’intrusion dans ma résidence.
Goldo
Vous lisant et vous suivant depuis longtemps ( GabrielleC en a peut-être moins l’habitude) j’avais bien compris que c’était cet évènement grave suscitant ces commentaires qui vous a écoeurée.
Habitant
Qu’elles que soient les convictions ou l’idéologie qu’on ait, on réagit différemment quand on est victime d’une agression : » ça n’arrive pas qu’aux autres » !!
@Gabriella
Le fait de convoquer la BAC chez lui parce qu’il s’est fait agressé, c un peu fort quand même (plusieurs inspecteurs), alors qu’a St-Denis, la plupart des victimes sont méprisé par cette municipalité et qu’elle n’ont pas le pouvoir de convoquer la BAC à la maison.
Il était tellement amoché qu’il n’est pas sorti de chez lui pendant plusieurs jours…
C’est lui qui m’expliquait qques jours avant son agression que les caméras ne servait à rien car elle ne filmait qu’a 50m…lol, et derrière il passe plusieurs jours a demandé à tout le monde d’identifier son agresseur.
Gabriella et Gabriella C
Désolée d’avoir confondu les 2 Gabriella. goldo
@Habitant
Normalement on devrait avoir des chances d’identifier des agresseurs avec des caméras bien placées, en tous cas ça aurait été très dissuasif , mais M.Brafman doit être dans le déni et ne veut pas se déjuger.
http://www.leparisien.fr/saint-denis-93200/saint-denis-sarcelles-une-enfant-de-12ans-blessee-par-un-tir-01-02-2016-5505669.php#xtor=AD-1481423552
Mais tous va bien a st denis a quand la video protection sur toute la ville ?
Et les victimes on y pense ?
Un enfant ce fait percuter par un scooter , un autre ce fait tirer dessus avec son pere , ‘ pour le moment pas de détails selon le parisien93
Saint-Denis – Sarcelles : une enfant de 12 ans blessée par un tir
Vive émotion dans le quartier Monmousseau à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). En plein jour, ce lundi midi, à quelques pas de commerces et d’une école, un tireur a ouvert le feu sur un père et sa fille, au pied de leur immeuble situé dans la rue Hénaff. Le père a été blessé de deux balles dans le pied et sa fille, âgée de 12 ans, a été touchée par un éclat de balle au niveau du coude.
Une blessure superficielle qui n’en est pas moins inquiétante puisque l’arme utilisée était de fort calibre. Six étuis de 9 mm ont été retrouvés sur les lieux. Le tireur est activement recherché par la police judiciaire de Seine-Saint-Denis, saisie par le parquet de Bobigny pour tentative de meurtre. Une voiture, qui pourrait correspondre à celle du tireur, a été retrouvée à moins de dix kilomètres de là, à Sarcelles, dans le département voisin du Val-d’Oise. Elle était vide de tout occupant.
« Tout le monde ici parle d’un règlement de compte », confie un habitant du quartier, sans savoir si les motifs avancés sont fondés ou non.
Pour tordre le cou aux rumeurs et s’en tenir aux faits, la municipalité envisage de diffuser un communiqué aux habitants de ce quartier, récemment réhabilité et « qui n’est pas non plus épargné par les problèmes de sécurité », commente Florence Haye, adjointe au maire (FG) et référente dans ce quartier. Elle s’est rendue sur place sitôt les faits connus. « Ce qui s’est passé est inacceptable et nous attendons que la police arrête l’auteur au plus vite », conclut-elle. Le maire Didier Paillard (PCF) a lui aussi jugé «inacceptable d’assister dans nos villes à de telles scènes de violences» avant de réclamer «un renforcement significatif des effectifs de police sur l’ensemble de la commune».
« En espérant que la police n’ait pas besoin de vidéo pour identifier l’auteur… » a dû se dire Mme Haye.
Mauvaise blague du jour, les parents ont appris que les scooters sont autorisés dans la rue PIÉTONNE de la République. St Denis, la ville où le droit ne s’applique pas…
Concernant le fait que les scooters soient autorisés rue Gabriel Péri, quelqu’un aurait-il plus d’info là-dessus ?
J’ai fait quelques recherches concernant le code de la route et voici ce qu’il en ressort de la définition de la zone piétonne :
« aire piétonne : section ou ensemble de sections de voies en agglomération, hors routes à grande circulation, constituant une zone affectée à la circulation des piétons de façon temporaire ou permanente. Dans cette zone, sous réserve des dispositions de l’article R. 431-9, seuls les véhicules nécessaires à la desserte interne de la zone sont autorisés à circuler à l’allure du pas et les piétons sont prioritaires sur ceux-ci. Les entrées et sorties de cette zone sont annoncées par une signalisation. »
L’aire piétonne est un espace public dont l’usage est dédié aux piétons. Le piéton y est prioritaire sur tous les autres usagers autorisés à y accéder à l’exception des modes guidés de façon permanente de transports publics. Il ne s’agit donc pas d’un partage de la voirie mais d’une affectation justifiée par les besoins d’expression de la vie locale lorsqu’ils sont fortement développés.
Une telle zone vise à faciliter avant tout les déplacements à pied, puis l’usage du vélo à faible vitesse ; la présence des véhicules motorisés devant rester exceptionnelle.
Bien évidemment toute la réglementation s’applique, que ce soit par exemple la législation pour les personnes à mobilité réduite, la signalisation, etc. »
Donc, la réglementation dit que seuls les véhicules motorisés nécessaires à la desserte commerces / habitations sont autorisés. Voici les articles du code de la route traitant de ces cas :
Art R.412-7
« Les conducteurs de véhicules motorisés ne doivent pas circuler sur une voie verte ni dans une aire piétonne à l’exception des cas prévus par les règles de circulation mentionnées à l’article R.411-3.
Le fait pour tout conducteur de contrevenir aux dispositions du présent article est puni d’une amende de 4ème classe. »
Art R 411-3
« L’autorité détentrice du pouvoir de police de la circulation détermine le périmètre des aires piétonnes et fixe les règles de circulation à l’intérieur du périmètre. »
Art R 110-2
… « Dans cette zone, sous réserve des dispositions de l’article R. 431-9, seuls les véhicules nécessaires à la desserte interne de la zone sont autorisés à
circuler »…
Ces articles donnent le pouvoir à l’autorité investie des pouvoirs de police de déterminer les véhicules ayant droit d’accéder à l’aire piétonne ainsi que la possibilité de faire appliquer la restriction d’accès. Ils déterminent la sanction qui s’applique. Le maire déterminera donc les véhicules « nécessaires » à la desserte.
Donc en gros, soit le code s’applique à St Denis et les 2 roues motorisés n’ont rien à faire au milieu des piétons et poussettes soit le Maire, autorité détentrice du pouvoir de police a changé les textes pour spécifiquement autoriser les scooters dans la rue piétonne. Quelqu’un a des infos ?
Voici le pdf trouvé sur le site de la sécurité routière qui donne toutes les dispositions réglementant la zone piétonne.
Un piéton reste prioritaire quelle que soit la zone et là, le piéton a non seulement été percuté mais en plus les auteurs sont coupables d’un délit de fuite. Après, il suffit de rentrer dans une auto-école pour savoir ce qu’est une zone piétonne et savoir ce qu’est en particulier la rue de la République,
Mais il est intéressant de creuser car osez répondre aux parents que les scooters sont autorisés juste pour se défausser et ne pas devoir expliquer pourquoi la police municipale est explicitement interdite de verbaliser les scooters c’est grave. Donc j’ose espérer qu’il y a une raison légale à leur réponse. Ce qui n’excuse en rien que si scooters il doit y avoir, il ne respecte pas le piéton qui est prioritaire sur tout dans cette zone et où les motorisés sont tolérés pour le service uniquement au pas ou à la main pour les 2 roues. Et que la police devrait être mandatée pour protéger les piétons dans une zone piétonne. Ca éviterait les scooters qui narguent la PM en roue arrière bd jules guesdes et qui savent pouvoir agir en toute impunité. A st denis, ils sont les rois de l’espace commun. Les piétons n’ont qu’à rester en alerte maximale en permanence, même dans leurs espaces réservés.
Il y a une trace écrite de ce que la mairie a énoncé ? Et une autre question, est-ce que quelqu’un est allé voir quels panneaux sont en place sur les entrées principales de la rue de la République ? Si les scooters sont autorisés alors ils devraient y être en place… (ce qui ne les empêche normalement pas de rouler au pas puisqu’ils sont dans une zone « dite » piétonne)
ça m’étonnerait (concernant la trace écrite), par contre le jsd.com a fait un article et publie un courrier de Vélo à St Denis dénonçant les conditions de circulation douce à St Denis : Article JSD sur l’accident de scooter
Espérons que la mairie sente le vent tourner et se décide enfin à agir.
Constat du dimanche : l’article du JSD a disparu de la page d’accueil du site au bout de 48h à peine, alors qu’y traînent encore des articles présents depuis plusieurs semaines ! Pour une fois que l’association « Vélo à Saint-Denis », si bien en cour à la mairie, se décidait à réagir, on ne lui pas laissé longtemps la parole…
Constat du lundi : l’article du JSD est réapparu (sur le coté) en page d’accueil du site. Les commentaires aussi du coup… Comme quoi le site « saint-denis ma ville » est bien utile pour signaler certains oublis des priorités dans les informations locales !
Je viens de voir qu’une réponse du Maire a été ajoutée à l’article. L’autorité même. Dommage que ce ne soit pas la réalité…
En effet, mais dans le même temps, on constate que l’article a de nouveau disparu de la page d’accueil du site du JSD…
C’est bien dommage car on peut lire des choses étonnantes dans la réponse du Maire, dont ceci par exemple : « Dans le centre-ville, la mise en place d’un réseau de vidéosurveillance (place du Caquet et rue de la République notamment), contribuera (…) aux investigations de la Police Nationale permettant notamment l’interpellation des auteurs de ce type de délit. » !
Pendant des années, le même, les mêmes nous opposaient l’inutilité de la vidéosurveillance, son coût excessif, son caractère « liberticide » (pas moins !), etc…. Le maire a changé d’opinion et c’est très bien si des caméras de vidéosurveillance sont enfin installées à Saint-Denis, malgré les critiques et les manoeuvres de retardement des derniers opposants (Braouezec, Bagayoko et autres Messaoudéne).
Bonsoir à tous,
Je prépare actuellement une pétition pour réclamer une augmentation significative du nombre de policiers municipaux et l’installation puis généralisation de la vidéo surveillance à tous les quartiers de St Denis.
Qui d’entre vous pourrait-il me communiquer des informations (documents, liens web) concernant les programmes de la municipalité dans ces domaines?
En vous remerciant d’avance.
Je viens d’avoir la police municipale au téléphone pour un scooteer garé en bas de chez nous, ils m’ont bien confirmé que le maire leur a interdit de mettre des amendes au scooter, ils m’ont expliqué qu’il ne pouvait pas aller à l’encontre de leur employeur.
Le maire aime peut-être la délinquance. On n’est pas sorti de l’auberge.
Bon… Il y a bien un panneau à l’entrée de là rue de la République mais le message premier n’est pas visible vu qu’il sert régulièrement de panneau d’affichage public… Pas grave, j’en ai trouvé un lisible via la rue Émile Connoy (pièce jointe). SI vous en avIez d’autres meNantes à cette artère ce serait déjà un bon début pour la constitution d’un dossier .
Et sur le site de Plaine commune, on peut veut voir cette photo-ci concernant l’entrée dans la zone centre-ville, ce qui peut bien nous laisser à penser que les scooters ne sont, en effet, pas autorisés si on se réfère au visuel de la rue de la République.
Par curiosité, j’ai regardé celui à l’entrée de la rue Gabriel Peri, zone semi-piétonne, (croisement Ursulines) mais une affiche pour un concert recouvre chaque face du panneau, impossible de voir les indications. Histoire de voir la différence avec les indications côté rue piétonne de la République.
Quand est-ce que vous admettrez que c’est une partie de la population qui habite Saint Denis qui est responsable de cette dérive de la ville et de ces comportements asociaux. Comment une ville habitée en partie par les gens les moins éduqués , les plus éloignés des valeurs partagées par tous, et les moins en situation de travailler serait à même de formater correctement ses enfants pour qu’ils suivent une scolarité normale, aient des comportements respectueux et respectent l’espace public ? Comment expliquez-vous que des gens qui sont formés pour servir le public et payés pour le faire (les enseignants, les policiers, les services publics en général) n’en puissent plus et quittent ce territoire en grand nombre au point qu’on en arrive à recruter des fonctionnaires au rabais, si ce n’est pas l’anormalité massive et constante des comportements de ceux auxquels ces gens ont affaire ? Après, vous pouvez toujours vous battre contre la municipalité, les autorités…le politiquement correct les empêchera de vous dire la réalité, que pourtant Braouezec avait un jour osé formuler : avec cette population, il ne faut pas s’attendre à des conditions de vie collective normales.
ouh, c’est dur à lire car désespérant… Mais on ne peut pas nier qu’une partie de la population est très éloignée du « modèle français ». Mais je ne pense pas que ce soit inéluctable et ç’est là que la Mairie et l’Etat ont des torts.
En tant que ville d’accueil, nous devrions avoir des procédures mises en place pour aider l’installation des nouveaux arrivants étrangers et surtout un accompagnement pour comprendre le système français, son fonctionnement, les règles de vie en société, les lois et les devoirs, ce qui est socialement accepté, ce qui ne l’est pas…
En général, quand on parle d’aide chez nous, on parle subventions, logements et point. Avec même une méfiance importante envers tout ce qui pourrait être assimilé à de l’endoctrinement qui aurait pour vocation d’effacer toute référence à la culture d’origine (même quand elle date des grand-parents).
Notre ville s’est spécialisée dans le social, voir la misère mais sans mettre ni les moyens intellectuels, ni les moyens financiers pour réellement accueillir et protéger sa population. Après on va se targuer des 170 nationalités mais rien n’est fait pour créer une ville unique et respectée où tout le monde a sa place. Tous les défenseurs de la victimisation oublient que ces personnes ont quitté leurs pays pour une vie meilleure. Ils ont choisi la France parce qu’ils espéraient trouver mieux, plus d’ordre, de sécurité, pour certains plus de liberté et pour beaucoup un meilleur avenir pour leurs enfants. St Denis ne tient pas ces promesses, à part la liberté peut-être si vous êtes un homme en pleine santé (et encore pas à n’importe quelle heure, n’importe où). Je pense même qu’il est dangereux pour une famille en quête d’un nouveau départ au sein de la société française de venir s’installer ici, car sans cadre clair, sans référent sur quoi s’appuyer pour comprendre la société française, son fonctionnement, ses valeurs et profiter au mieux des opportunités pour un meilleur avenir, le risque d’échec, particulièrement au niveau des enfants, est important.
@Theodore
Lorsque ces population arrive à St-Denis et voit le bordel et le fonctionnement de cette ville, voit que la loi du plus fort règne…et bien il s’intègre et font de même, c’est aussi simple que ça. Car si votre démonstration était exacte, on le constaterai ds d’autres villes voisine de St-Denis, or ce n’est pas le cas. Avant l’arrivé de Braouzec, cette ville était métissé aussi, on avait pas ces problèmes là, donc le problème vient bien de l’incompétence et la volonté des élus (Braouzec/Paillard).
dans cette ville rien n’est respecté même le Préfet ne fait pas appliquer les décisions de justice. si le camp de roms de la gare côté confluence est encore là c’esrt qu’il n’a pas appliqué la loi. Aujourd’hui si le camp de roms de la gare est encore là a pourrir la vie des enseignants, des élèves,des parents de l’école située juste à coté ainsi que le riverains, c’est bien de sa faute. Ce camp sur décision de justice devait être expulsé depuis le 9 septembre dernier. les fumées, les odeurs, et le tas de détritus sont la seule vie de ce quartier dit en rénovation. tous les travaux sont bloqués car personne ne veut acheter ni louer. Nous sommes de citoyens de 3ème zone.
@ Habitant,
Mr Brafman a l’art de se projeter sur autrui, c’est à dire de faire porter le chapeau aux autres pour s’exonérer de son propre comportement saturé de « malveillance et de calomnie » comme il l’écrit. Le « petit village », auquel il fait allusion autour de chez lui, préfère passer son chemin quand il le croise ……
Comme le dit si justement Gabriella « Mr Brafman doit être dans le déni et ne veut pas se déjuger ». Il dénigrera encore tout projet sérieux et suivi d’installation de la vidéo-protection. Celle-ci, loin d’être la panacée, peut cependant s’avérer dissuasive et permettre l’élucidation de ce type d’affaires.
Il va de soi que je condamne avec la plus grande fermeté toute agression, fût-elle à l’encontre de ce sinistre personnage.
Attention au mot sinistre. En 1942, vos semblables dénonçait ma famille en utilisant les mêmes termes. Voir les articles de « Je suis partout », les éditoriaux de Radio Paris… J’ai prévenu : si cela dépasse les limites c’est la voie légale…
vu la « réponse » de Brafman… pas un mot sur cet enfant blessé juste la défense de sa personne !!! sans commentaire inutile.
Révoltée et dans un colère sourde contre cet accident alors même que tous les élus, policiers sont informés depuis longtemps de ces dangers (je vous rappelle cette motos en roue arrière qui avait foncé sur un arrêt de bus plein) pour les personnes dans la zone piétonne…le seule chose qu’ils arrivent à faire c’est mettre de nouveaux équipements publics qui organisent la circulation et le stationnement des véhicules.
Des élus responsables donc…. mise en danger d’autrui
ALIEN
@Babeth
Il est clair que ce Brafmann est dans le déni complet, son idole c’est Patrick Braouzec..
Il a passé des semaines à harcelé son petit village comme il l’appelle pour qu’il dénonce son agresseur, lui et sa femme, devenant par moment menaçant auprès des villageois, qui le fuyait. Il n’a jamais eu sa réponse, car les villageois ont trop peur des représailles, car tout le monde le sait, à St-Denis c’est la loi du plus fort qui règne et si tu veux pas avoir de problème avec les dealers (qui sont prêt à tout) et bien tu te tais. C’est pour ça que les caméras à St-Denis sont indispensable. Mr Brafmann, cette ville n’est pas fait pour les vieux, les femmes et les enfants, et comme vous me l’avez dit un jour, si vous n’êtes pas content (de la réaction des villageois) et bien partez.
@Alien
Oui pas un mot de Brafmann, sur cet enfant qui s’est fait renversé, pourtant cette page lui est consacré. Alors même que ce Brafmann habite à 100m de l’accident, qu’il organise ces réunion avec les élus et la Bac…dans ce conservatoire. Peu importe le sang coulé depuis des années dans ces mêmes rues, il reste dans un déni complet. Et après il pense que les villageois vont l’aider…MDR, alors que tous ces villageois le détestent, pour ce qu’il a fait avec ses amis, de cette ville.
Réponse au corbeau pétainiste, qui n’a pas dû avoir le bac et qui en souffre car il voit la BAC partout et soit disant « habitant », une création de ma part utilisable partout et que j’ai largement ventilé dans la ville avant de voir sa prose délicate :
NON AUX SCOOTERS
RUE DE LA REPUBLIQUE
APPEL DES PARENTS DU GARCON ACCIDENTE
MARCHE CITOYENNE
SAMEDI 20 FEVRIER 2016
14h30
DU CONSERVATOIRE 15 RUE CATULIENNE
A LA MAIRIE DE SAINT-DENIS
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Suite à l’accident de notre garçon de 8 ans, Joseph DEHAUDT, mon mari et
moi organisons une grande marche samedi prochain, le 20 février 2016 à 14h30.
Le slogan sera : « Non aux scooters rue de la République! »
Elle démarrera au Conservatoire, puis rue Catulienne et se terminera à la mairie de St Denis.
Ce message est destiné à la police municipale qui a peur!
Peur de verbaliser les conducteurs de scooters, peur de rappeler les règles.
C’est elle même qui me l’a dit. La mairie est-bien sûr-concernée elle aussi.
Nous ne pouvons pas accepter cette situation.
Nous serons accueillis sur les marche de la mairie par des élus de la
mairie qui je l’espère seront nombreux.
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Vous pouvez aussi apporter des ballons de baudruche pour colorer la manifestation, des tambours, des grelots…
Et vos enfants !
Merci M. Brafman de diffuser le tract des parents de Joseph. N’hésitez pas à inciter vos amis à la mairie à installer des caméras et à autoriser la PM à verbaliser les scooters.
Après, que vous ayez été choqué, souhaité que les auteurs soient arrêtés, je trouve cela tout à fait normal, aucune honte à avoir. Cette colère qu’on ressent encore longtemps après l’agression qui ne peut qu’être amplifiée par l’impunité de l’auteur, beaucoup de Dionysiens la connaissent, ce qui explique l’énorme dégoût et l’agressivité de beaucoup.
Les conducteurs du scooter ne sont pas identifiés et ne le seront probablement pas. Les parents vont devoir aussi dépasser le traumatisme et vivre avec cette histoire qui ne sera pas conclue. Peut-être allez-vous réétudier votre position sur la vidéo-surveillance ?
A cette expression tranquille et respectueuse, je veux répondre de la même façon et débattre.
Il est vrai que le texte de l’affichette correspond à ce que j’ai reçu par mail.Et je l’ai mis en forme en maquettant une affichette. L’expression de cette mère, la révolte de ces parents, la blessure de cet enfant me touchent profondément et je veux agir avec toutes celles et tous ceux que ça indigne mais en restant respectueux. J’ai passé des années rue Jean Jaurès, avec quelques ami-e-s à m’opposer à ces phénomènes, ces débordements brutaux et dangereux. Ma fille a failli être renversée et gravement blessée par une moto à toute vitesse débouchant de l’Ilot Basilique. J’ai cru mourir et avec des idées de haine dans la tête. Terrible quand on a vu naître et grandir ces jeunes, constaté leurs dérives. Discussions, confrontations, sorties à minuit ou une heure du matin… tout y est passé et il y a eu des moments de résolution notamment après 1997 et la création des emplois jeunes. Du boulot et la tension est retombée pour repartir… après avec le chômage… Raccourci ? Non la triste réalité…. Et la police nationale avec laquelle j’avais contact et dialoguait qui me disait son impuissance et son refus d’intercepter ces motos, scooters, motocross. Alors qu’un véritable investissement aurait pu faire saisir les engins, intercepter au départ à l’arrivée… Et mettre ces jeunes dans un cycle de resocialisation. Mais la PJJ perdait sans cesse des postes. Il n’y a plus de prévention spécialisée de l’Etat sinon celle de la Ville qui n’en peut mais.
Maintenant pour les caméras : si je pensais qu’il y a une efficacité réelle j’en serais chaud partisan. Sauf dans les endroits clos pour lesquels j’ai toujours voté des subventions au conseil régional, dans l’espace ouvert c’est un leurre et une impuissance à penser et concrétiser un traitement global. C’est à ce dernier que je veux me consacrer comme citoyen. Maintenant il a été voté des caméras et on fera le point. Mais réfléchissez combien nous sommes le Saint-Denis méprisé des pouvoirs publics : policiers en nombre très insuffisant, un commissariat délabré et que le ministère de l’intérieur a laissé tomber durant des années alors qu’on en inaugurait des flambants neufs dans des villes résidentielles, un commissariat à la gare fermé des années et transformé en poste SNCF alors que des évènements se déroulent à sa porte, une gare scandaleusement laissée pour compte alors que des projets ont été proposés depuis des dizaines d’années. Toujours trop grand, trop cher alors qu’on a l’équivalent dans plein de villes plus réduites… On verra donc mais ne délaissons pas tout le reste : les caméras sont des outils, pas une stratégie…
Je suis d’accord pour dire que les caméras ne vont pas régler les problèmes toutes seules. Et aussi que nous vivons dans un ghetto territorial où effectivement, les services de l’Etat ne sont pas à niveau par rapport au nombre d’habitants. Ce constat fait, peut-être également qu’on devrait arrêter de cumuler la misère chez nous mais c’est un autre débat…
Pour revenir sur les caméras, cela n’aurait sans doute pas évité l’accident (pour cela, c’est la présence dissuasive de la police qu’il nous faut) mais au moins les auteurs auraient pu être identifiés et donc mis en examen.
Pour la famille, cela aiderait à tourner la page.
Pour les Dionysiens, de sanctionner les auteurs de délits, ce serait également un espoir d’amélioration et surtout de limiter la récidive. Pourquoi ne pas aller en scooter rue de la République alors que ces jeunes ne sont même pas contrôlés, à défaut d’être verbalisés. Une fois encore, le nombre de conducteurs / passagers de scooters qui font du rodéo dans les espaces piétons ne doit pas être énorme. Ce sont toujours les mêmes.
On nous répond qu’on ne peut pas les arrêter pour éviter le risque d’émeute. OK, je passe sur le fait que pour éviter une émeute, 90 % des habitants doivent rester en vigilance permanente lorsqu’ils sont dans l’espace piéton et que de temps en temps il y a des pertes : une petite fille il y a quelques années, Joseph gravement accidenté en janvier… Donc on ne les poursuit pas. Mais avec des caméras, vu qu’ils sont en plus souvent sans casque, on pourra les identifier et la police pourra aller les chercher tranquillement chez leurs parents ou procéder à l’enlèvement des scooters volés…
A St Denis où on n’intervient jamais en flag par manque d’effectif ou par crainte des conséquences, les caméras sont plus que nécessaires. Et à moins de volontairement saboter la mise en place (nombre insuffisant, emplacements plus que surprenants : pas dans les zones rouges mais sur les parcours gare / stade, non exploitation des données…), c’est difficile de croire que cela n’aidera pas la police…
Après, est-ce que la police pourra intervenir plus en flag ? sans nouveau policier non. Est-ce que la police / justice interviendra sur tout ce que filment ces caméras ? Sans doute que non. Est-ce qu’à posteriori cela permettra d’identifier plus d’auteurs de délit ? oui si on se donne la peine de chercher, l’enquête ne dépendra plus de témoins qui n’ont rien vu / rien entendu.
@Brafman
C’est la Bac, elle même qui est venu nous voir, le jour de leur convocation pour nous raconter la réunion qui avait eut lieu entre vous et eux..
Comme dit Bill, il n’y a pas de honte, mais sachez qu’on vous déteste ds le quartier, vous, autant que vos amis de la mairie. Grâce à vous et vos acolyte, tous ces agresseurs ne seront jamais identifié et recommenceront demain en faisant d’autres victimes à St-Denis et c’est pour ça, qu’on vous hais tant. Vos position et votre stratégie machiavélique ont rendu ce quartier infréquentable.
@Brafman
Vous savez ce qui vous dis le corbeau pétainiste… non, ça va être censuré, je vous le dirai en face..à bientôt