Rue du Jambon – Rue G. Peri : encore des riverains excédés

Quartier après quartier, les riverains se manifestent pour exprimer leur colère et leur lassitude devant les débordements et souvent les violences dans leur rue, leur quartier qui les empêchent de dormir, dégradent leur quartier et détruisent le si cher « vivre ensemble ».
Les habitants de la rue du Jambon au croisement avec Gabriel Peri ont multiplié les appels et démarches pour stopper les attroupements alcoolisés dans la rue. Ils semblent avoir été entendus enfin cette semaine. Voici leur témoignage en espérant que la police aura les moyens humains de maintenir leur action dans la durée…
Bill
Bonjour
Vous l’avez peut-être remarqué (difficile de l’éviter quand on passe dans le quartier!), depuis 2 ans, un groupe de personne se rassemble chaque jour, ou presque, à l’angle de la rue du jambon et de la rue Péri, de 16h jusqu’à tard dans la nuit, pour boire de l’alcool, fumer des joints, jouer à des jeux d’argent, crier, uriner, dégrader l’espace public et parfois se battre très violemment. Ces regroupements débordent souvent sur la rue Péri, au pied de l’agence immobilière Saint-Denis Immobilier et en face de celle-ci (agence de voyage, Axa Assurances).De nombreux riverains et moi-même avons appelé le commissariat de Saint-Denis un nombre incalculable de fois en deux ans, souvent plusieurs fois par soir. En vain, personne ne s’est jamais déplacé.
Courant mai et juin, de plus en plus exaspérés, nous sommes nombreux à avoir envoyer plusieurs mails assez secs (c’est un euphémisme) à Laurent Russier (en charge du Grand Centre Ville) et à Margaux Berheim (chargée de mission au Cabinet du Maire).Mardi dernier, enfin, on nous a proposé, à nous riverains et commerçants, un rdv en présence de Laurent Russier, d’Emilie Elaidi (directrice Quartier Grand Centre Ville), de Pierre Hertzel (référent Police Population), du commandant Churlet, d’une représentante de Plaine Commune (voirie) et d’un représentant des Médiateurs de rue.
La police s’est engagée à intervenir régulièrement pour déloger les squatters, et le soir même, le commandant Churlet et son équipe sont passés à deux reprises.Toute la semaine a été plutôt calme, mais les rassemblements semblent reprendre aujourd’hui samedi…
La Mairie s’est aussi engagée sur certains points:
- étude pour afficher les arrêtés municipaux interdisant la conso d’alcool,
- réflexion sur un dispositif pour empêcher que le compteur EDF serve de table ou de chaise,
- réflexion de l’entretien des jardinières qui servent d’urinoir.
Inutile de vous dire que les études sont encore à l’étude…
Laurent Russier nous a également avoué son impuissance à intervenir sur le commerce (le resto du 55 rue Péri) qui, selon nous, attire les personnes: seules quelques fermetures temporaires ont été décidées, et il parait que les commerces ne sont pas responsables de ce qui se passe sur leur pas de porte.Quoi qu’il en soit, on est déterminé au Jambon et à Péri à faire cesser ses comportements qui nous pourrissent la vie et nos nuits depuis trop longtemps. On ne s’arrêtera pas!
Nadia
courage courage il y a des problèmes partout dans la ville.
aucune solution est trouvé à chaque problème car il n’est pas à l’écoute de la population.
On galère tous
et oui on peut le dire on galère tous et j’aimerai que monsieur le maire nous exilique pourquoi nous en sommes arrivés là . je rappelle lui n’a pas honte de sa ville. aujourd’hui c’est ce quartier dont on parle, demain ce sera un autre car dans cette ville aucun n’est épargné. ah oui j’allais oublié celui de la mairie et aussi le lieu d’habitation de monsieur Paillard.
Oui il en faut du courage, mais on va tenir le coup!
Le weekend a été calme, merci la pluie.
Parfois ils sont 10 à se regrouper, parfois 20, parfois 30, et ça peut être vraiment très impressionnant, notamment pour les enfants (l’école Puy Pensot est juste à côté).
Une habitante nous a même rapporté le cas d’une agression sexuelle commise récemment sur une passante par un des membre du groupe alcoolisé…
On verra comment va se passer la semaine, avec le retour du beau temps, et on n’exclut pas d’autres actions avec les riverains si la situation se dégradait à nouveau…
La rue Gabriel Peri à cette hauteur est devenue vraiment triste. Beaucoup d’immeubles condamnés, boutiques vides…
Dans la journée, les trottoirs sont occupés en permanence par des hommes superbement coiffés qui alpaguent les client-e-s potentiel-le-s…
Et la nuit, si on a la chance de pouvoir l’éviter, on ne passe pas par cette rue.
Je suppose que la caméra placée au croisement peri / ursulines ne capture pas la rue du Jambon ?
Le commandant Churlet est apprécié par beaucoup de Dionysiens pour son souci réel de la sécurité et son écoute. Malheureusement, avec tellement de quartiers en perdition complète, on ne voit pas comment il va pouvoir intervenir partout cet été. Si on pouvait garder les effectifs de l’Euro et laisser des policiers sur la ville, on pourrait espérer une vraie présence dans le long terme mais…
En tout cas, perso, j’apprécie l’Euro : pouvoir me promener avec un sac dans St Denis, ne pas être stressée dans le centre ville, voir des policiers régulièrement et me dire qu’il suffit de hurler si on m’arrache mon sac, il ne manque qu’un peu de soleil !
comme Bill, je trouve que l’effet qu’a l’euro sur les abords de la gare est saisissant: on observe une présence policière accrue, surtout la municipale, qui a l’air de réguler les marchands à la sauvette… ce n’est donc pas si difficile que cela de maintenir les abords de la gare à peu près calmes!
Dommage qu il faut l euro pour que l on puisse se sentir en securite.est ce normal?une preuve de plus pour notre proces.bon courage a tous.et pour nous le bidonville est toujours la et s il reste trop longtemps d autres roms vont le sqatter.en attendant moi je suis en normandie et j oublie mon mobilhomme.j avoue que j ai de la chance mais tous mes amis sont bienvenus
En effet il faudrait laisser cet été au moins une partie des policiers de l’Euro, à Saint-Denis cela devient indispensable pour éviter des débordements, en tous cas on va se souhaiter tous bon courage, et Nadia a bien raison de dire qu’il faut rester mobilisés.
Ce qu’il faudrait faire c’est de se mettre tous ensemble de prendre un avocat attaquer en justice tout les associations qui soutient tout ces fouteurs de trouble, roms et j’en passe ainsi que la mairie qui verses des subventions à tour de bras et que la mairie est de meche avec eux.
La preuve gare confluence le camp rom est toujours là il devait partir le 27 juin rien est fait le maire n’à pas fait intervenir un huissier pour les déloger, le maire ne va pas dans le sens du préfet dommage.
Courage nadia il va falloir s’armer de patience car tout les problèmes qu’il y a à Saint dénis il s’accumule de jour en jour.
Je fais un appel d offre pour la plainte que nous allons déposer au titre de notre collectif d habitants.toutes personnes intéressées peut se joindre à nous il suffit de me contacter en passant par le biais de bill saint denis ma ville.
Voilà nadia une bonne nouvelle le camp de rom de la gare à été évacué le 6 juillet à 12 heures malgré cela quelques roms reste sur la place refuse de partir la mairie ou plutôt le propriétaire du terrain la SEM 93 on mis un agent sécurité pour pas que les roms se réinstalle les habitants de la rue Charles Michel on pu retrouver le calme dormir car sa fait 2 ans que leur vie a été un enfer.
Merci a goldo pour tout l’énergie qu’elle a mis pour faire bouger les services en question
sans goldo le camp de rom serai toujours la.
Courage nadia il faut bouger sensibilisé les gens du quartier et frappé à toute les portes pour que sa bouge.
http://lejsd.com/sites/lejsd.dev/files/CPresse_Coignet_6juillet2016.pdf
sur le JSD, le communiqué de la ville de Saint-Denis
Cette lettre n’est pas signé par le maire mais par :
Clément Aumeunier 06 46 4159 45 / clement.aumeunier@ville-saint-denis.fr
Oui il faut frapper à toutes les portes et ne pas se décourager!
Au jambon, la semaine a été relativement calme, mais on sent que c’est précaire, qu’on est sur un fil…
Mardi, en fin de journée vers 17h, quand je suis passée dans la rue, j’ai constaté qu’il y avait déjà un rassemblement de 13 personnes roulant et fumant ostensiblement des gros joints, buvant de la bière, et criant.
J’ai pris une photo du regroupement (maintenant, c’est systématique, mes voisins et moi prenons tout le temps des photos qui témoignent de l’état de la rue).
Ils m’ont vue prendre la photo et deux d’entre eux se sont rapprochés de moi et m’ont demandé d’effacer la photo. Au début, j’ai refusé en leur disant que j’allais l’envoyer à la police, mais j’ai bien senti, au bout d’un moment, qu’il serait préférable pour moi de l’effacer… Je l’ai fait mais je leur ai dit que je recommencerai plus tard si je les voyais, et en toute discrétion cette fois ci. J’ai quand même essayé de faire un peu de pédagogie avec eux en leur expliquant des choses et d’autres. Peine perdue. A aucun moment, je n’ai été agressive ou irrespectueuse.
Vers 20h, quand je suis rentrée, ils n’étaient plus dans le rue du jambon, ils étaient moins nombreux mais squattaient le pas de porte d’Axa. L’un d’eux m’a vue et m’a menacée verbalement mais très violemment (j’allais voir ce que j’allais voir si j’appelais la police). Ils étaient très très bourrés et j’ai eu un peu peur. J’ai passé mon chemin et je suis rentrée chez moi. L’état d’énervement dans lequel me met mon impuissance devant de tels comportements est tout à fait remarquable, à chaque fois c’est pareil, et le sentiment d’injustice que je ressens est très fort: je paye mes impôts, je suis sympa avec mes voisins, je trie mes déchets, je balance mes chewing-gums dans les poubelles de rue, et eux sont là, dans le rue, tranquilles, accumulant les délits à la barbe de tout le monde, ça me rend dingue.
J’appréhende le retour des températures estivales, j’appréhende aussi comme vous la fin de l’Euro et la fin des moyens supplémentaires de la Police et de la Gendarmerie qui ont quand même changé un peu le climat en centre ville.
En tout cas, le commandant Churlet est toujours à l’écoute, il a appelé hier, et ça c’est rassurant.
Les grandes vacances arrivent et on va certainement baissé un peu la garde au jambon et partir prendre l’air.
On n’est sera que plus déterminé à la rentrée à reprendre le combat.
@Mimidu
effectivement je pense que si je n’avais pas réagi avec mes voisins, le camp n’aurait pas été délogé. J’ai du persécuter plusieurs intervenants et instances. je ne comprends toujours pas que ce soit des citoyens qui y parviennent pendant que notre maire n’y arrive pas. cherchez l’erreur.
Ceci dit je me demande ce qui va se passer pour la famille qui résiste et qui a dormi sur le parvis. ou vont-ils faire leurs besoins, mettre leurs déchets. une bonne chose a priori avec eux il n’Ya pas d’enfants. leT chantier il va falloir tout nettoyer, combien cela coute?
Bonjour à tous.
En lisant le commentaire de l’attaché de presse, je sens bien que ce n’est pas D. PAILLARD et que des communicants font ce travail pour lui.
En le lisant, on remarque qu’on missionné un laboratoire pour s’apercevoir que les fumées quotidienne…. étaient toxiques.
Je veux bien qu’il faille respecter les procédures… Mais tout de même. Le bon sens n’a pas disparu en passant les portes de la mairie. Il a fallu une énergie folle (notamment de GOLDO) et que les parents d’élèves manifestent pour faire cesser les fumées.
Je comprends la souffrance des Roms mais il ne faut pas que les élus et l’administration n’oublie pas les habitants. Les roms ne sont pas habitants, ils occupent illégalement un espace publique (La SEM PLAINE COMMUNE est un établissement mixte sous responsabilité d’un certain P. BRAOUEZEC, irresponsable notoire).
Je rappelle au président de SEM PLAINE COMMUNE que la ville ne lui appartient pas.
Quand à D. PAILLARD, autre irresponsable, ne se démène pas pour fermer les bidonvilles. Et le camp voltaire, bidonville légale, est maintenu comme si c’était normal d’avoir cela en ville.
Il y a un mot qui m’a fait tilter. Ce mot c’est « coexistence ».
On est donc très loin du vivre en ensemble prôné par la municipalité. D’ailleurs le mixité n’apparaît même plus. On est juste des gens cote a cote.
Dernière ligne du communiqué:
« La situation actuelle de Saint-Denis illustre toutes les limites de l’absence de stratégie régionale à l’issue de cette Conférence ».
Saint Denis illustre décidément beaucoup de chose… Et malheureusement pas les meilleurs.
Ps : Clément Aumeunier est directeur de la communication de la ville.
En attendant ce soir sur le parvis de la gare l’espace n’est plus occupé, c’est calme mais en même temps il y a le match. Ceci dit les roms occupaient tout l’espace public, ils jouaient au foot en tapant le ballon sur les balustrades et cela résonnait dans nos appartements, l’électrogène faisait du bruit jusque le moment où ils n’utilisaient plus de lumière, c’est a dire des fois jusque 2 h du matin, de la musique et des barbecues réguliers.
Ce camp n’était plus occupé que par des roms, mais aussi par diverses personnes comme un SDF martiniquais qui d’ailleurs faisait partie des personnes qui ont dormi cette nuit sur le parvis. leurs associations nous ont baladé.
Sur le parvis reste un matelas celui qui a servi cette nuit mais les gens sont partis. et oui on apprécie ce soir ce calme.
Et oui il en faut de l’énergie et de la persévérance mais ca finit par payer.
Un nouvel article de Sébastien Banse sur le site du JSD, le 7 juillet, pratique à nouveau la désinformation et utilise la ficelle compassionnelle jusqu’à l’usure à propos de l’évacuation du campement rom derrière la Gare ! On a droit à tous les clichés jusqu’à un pauvre bouquet de fleurs tombé à terre après l’action des bulldozers … Il nous enjoint de compatir face aux exigences de certains récalcitrants à l’évacuation : « Il y a un homme et une femme d’une cinquantaine d’années qui ne veulent pas de l’hôtel s’ils ne peuvent se faire à manger. » ou « Gheorghe est seul ici. Il a eu deux enfants en France, ils sont repartis en Roumanie avec leur mère. Maintenant il veut un billet d’avion pour les rejoindre ». Et Sébastien Banse qui n’a pas peur de faire dans le littéraire va jusqu’à citer le grand écrivain catholique G. Bernanos pour étayer ses propos, sans doute influencé par les associations caritatives présentes, le CCFD–Terre Solidaire et le Secours Catholique.
Mais la vérité est ailleurs !… Elle est reléguée en petit, au-dessous de l’article, dans deux liens avec le communiqué de la mairie et surtout celui de la Préfecture dont voici des extraits significatifs :
« Ce campement occupe un terrain dont la SEM Plaine Commune Développement est propriétaire et qui fait l’objet d’un permis de construire pour un immeuble de bureaux et de commerces depuis janvier 2014. Par ordonnance du 17 décembre 2014, le juge des référés du tribunal de grande instance de Bobigny avait prononcé l’expulsion des occupants à l’expiration d’un délai de 8 mois après signification de l’ordonnance. Les occupants auraient dû quitter les lieux de leur propre initiative depuis le 10 septembre 2015. Toutefois, par jugement du 27 octobre 2015, le juge de l’exécution leur avait accordé un nouveau délai jusqu’au 27 juin 2016. Ce campement, occupé par environ 130 personnes de nationalité roumaine, jouxte les quais de la gare de Saint-Denis ainsi que le groupe scolaire provisoire Pina Bausch qui accueille des élèves depuis la rentrée 2015. Cette installation entraîne de nombreuses difficultés, notamment en matière de salubrité publique, pour les riverains et tout particulièrement les enfants et le personnel de l’école Pina Bausch. » (…)
« Des propositions de suivi ont été faites à toutes les familles présentes sur le campement(…). Sur les 70 ménages rencontrés (soit 199 personnes, dont 59 enfants), 11 ménages (comprenant 27 adultes et 16 enfants) ont adhéré au projet d’insertion et signé un contrat d’objectifs avec la plate-forme entre le 1er et le 7 septembre 2015. Leur situation a fait l’objet d’un suivi particulier afin d’accompagner leurs démarches d’insertion. À ce jour, seules 5 familles ont choisi de continuer d’adhérer au dispositif AIOS. Des propositions de relogement en province leur ont été faites au printemps avec un accompagnement social renforcé, propositions qu’elles ont refusées. » (…)
« À défaut d’un départ spontané des occupants le 28 juin dernier, au terme du délai accordé par le juge, le concours de la force publique a été accordé le 4 juillet dernier à la SEM Plaine Commune Développement. L’évacuation du site s’est déroulée aujourd’hui, mercredi 6 juillet à 13h : une cinquantaine d’occupants était encore sur site et les services de l’État ont proposé des solutions d’hébergement à des familles préalablement identifiées tandis que les autres personnes se sont vues proposer une mise à l’abri dans le cadre du dispositif d’hébergement d’urgence du 115. Alors que l’opération d’évacuation n’était pas tout à fait terminée en milieu d’après-midi, un premier bilan provisoire de l’hébergement permettait d’enregistrer une prise en charge de plusieurs familles, dont les 2 encore suivies dans le dispositif d’insertion, tandis que plusieurs autres refusaient les propositions qui leur avaient été faites. »
Enfin, dans sa lancée misérabiliste, Sébastien Banse révèle cependant une information : l’existence d’un troisième bidonville « menacé » d’expulsion cet été, derrière la palissade blanche de la rue de Strasbourg, à côté du cimetière de Saint-Denis, où un cas de tuberculose a été détecté.
Pour accéder à l’article sur le site du JSD (qui n’est plus qu’en bas de page de la une…)
http://www.lejsd.com/content/%C3%A0-la-rue-leurs-affaires-en-tas-sur-le-sol
Eh bien les habitants des immeubles face ou à côté du » camp de roms » désormais évacué auront droit à la place – incessamment sous peu – à un autre et vaste chantier en bonne et due forme pour la construction d’un immeuble de bureaux diligenté par » Plaine Commune et co » .
Que ce chantier puisse être bref , silencieux et non polluant à l’égard du voisinage !
effectivement c’est beaucoup plus calme, le parvis n’était occupé que par eux et c’était transformé en parc de jeux.
Je reviend sur l’article que suger à mis. Ce monsieur qui dit j’ai 2 enfants nés en France et repartis en Roumanie avec leur mère
Pourquoi n’est il pas parti avec eux si il n’à pas trouver de boulot ainsi qu’un logement pour vivre en France.
La France est une pays d’accueil mais il y a des conditions tout les étrangers qui souhaitent s’installer il respecte les démarches avec des visas en règles tout du moins son hébergés par de la famille ou amis.
Contrairement aux roms ils viennent en France sans papier sans logement sans aucun but de travailler et il mettent leur familles dans la merde car sans argent il est difficile de survivre, ce qui développe de la mendicité des vols des camps qui pousse un peu partout depuis quelques temps de plus en plus près des habitations qui eux paient des impots par contre les camps sont à la charge des collectivités ce qui veut dire ce sont les habitants qui supporte les frais de ces gens qui s’installe illégalement.
Ce monsieur trouve le moyen de demander que l’on lui paie son billet retour je trouve sa pas normal .
La France accueil tout le monde mais en règle avec des papiers.
Il y a eu un reportage sur tf1 sa se prépare ils viennent pas sans rien.
Il ne faut pas oublier que les Roms sont des citoyens européens, ils n’ont pas besoin de visa. Par contre, ils sont supposés avoir des ressources financières pour vivre en France au-delà de 3 mois.
Pour répondre à Bill oui Il son dans l’Europe mais quand ils sont arrivés en France les pays de l’est n’était pas dans Europe ce problème des camps de roms remonte pas à hier sa fait des années.
Quand on s’installe dans un pays on vient avec un minimum pour vivre mais pas rien comme eux, on ne peut pas prétendre aux aides social sans avoir vécu en France légalement eux par contre veulent passer outre et avoir les aides des qu’il arrive.
La Roumanie est entrée dans l’Europe le 1er janvier 2007. Si ses citoyens ont eu la libre circulation immédiatement, ils n’ont eu le droit de travailler qu’assez récemment. Ce qui a effectivement permis une bonne exploitation pendant de longues années.
Pour moi, le problème se situe bien au niveau de l’Europe mais aussi au niveau des pays d’origines où l’égalité des droits n’est pas respectée. L’Europe verse des millions mais on ne sait pas à quoi ils servent aux gouvernements pour améliorer la situation mais manifestement, cela ne va pas dans les bonnes poches, la situation des Roms ne s’améliore pas. Du coup, St Denis la ville au grand coeur, prend en charge ces « sans », fustige les voisins sans coeur et c’est la guerre entre les sans et les pas grand chose quand les derniers arrivés empirent la situation de habitants qui luttent.
S’ils reçoivent des aides, cela vient de l’Europe ou de subventions. L’Etat n’en verse (RMI) qu’au bout de 5 ans de présence légale sur le territoire.
Pour en revenir a l’article je comprend le désarroi et ral le bol des riverains
j’habite rue G peri au abord du métro porte de paris
Ce matin la police scientifique étais présente après un ou plusieurs Homicide n’est s’est pas plus ( a suivre peut être dans la presse ) ??
Au abord d’un bar a chicha
Les soirée son difficile vers ce coin de la ville entre les clients du bars a chichas et les coiffeurs ( qui serres également de bar créant de nuisance nocturne et en journée ou bcp viennent s’alcooliser , ou consommer des stupéfiant )
Un coiffeur n’a pas cette vocation il me semble !!!
Mais tous le monde fait la politique de l’autruche tous va bien dans cette ville Et qui conque ce plainant ( est soi raciste , facho . ou même myto puisque ce qui ce plaint s’imagine de chose que les élus locaux ne voie pas et surtout ne vivre pas Vivant hors réalité du quotidiens des nous citoyens lambda … )
Les familles dyonisiennes aspire a vivre a pouvoir retrouver un peu de sérénité a st Denis la situation ce dégrade de jour en jour
voici ce qui s’est passé cette nuit dans notre paisible cité :
http://www.leparisien.fr/saint-denis-93200/saint-denis-un-chauffeur-de-taxi-tue-en-pleine-rue-15-07-2016-5970533.php
leparisien.fr
Qu’ il fait bon vivre à saî̈nt denis.Après on se demandera pourquoi les habitants n ont pas le droit aux taxis ou à sos médecin.Et aussi pourqoui les habitants se sentent en insécurité.et l équipe municipale qu’ en a t elle dit?
Suite au courrier reçu dans les boîtes aux lettres concernant les camps de roms sur le papier il en compte six dommage que cette mairie sait pas compter il y a 7 camps car il a encore menti aux habitants je veux dire le maire et plaine commune le camp qui a été déloger près de la gare se trouve rue brise echalat où un camp avait été déloger.
Comment peut ton le savoir rien d’autre qu’aux déchets qui flottent dans l’eau ou il y a l’écluse de St Denis tram t1 il y a pleins de bouteilles plastic et papier qui flottent quand vous regardez au loin un camp de rom viens de pousser de terre, cette population à un tres gros problème avec l’hygiène.
La mairie à un souci avec les habitants elle ne les couvrent pas il y a une seule chose qui les intéressé leur argent pour payer des impôts toujours des impots
depuis fin juin je n’ai pas beaucoup séjourné a saint Denis car je fuis toujours cette ville et dès que je peux je pars. je suis obligée de revenir deux jours et demi dans la semaine et j’y suis depuis hier. je n’ai pas constaté beaucoup de changements, c’est toujours aussi sale et les vendeurs de brochettes et de toutes sortes envahissent de nouveau le parvis de la gare. plus de police municipale qui devait faire fuir les vendeurs seulement pendant l’euro.
j’ai donc de nouveau interrogé monsieur Paillard et son coéquipier chargé de la sécurité en leur envoyant un mèl.
Je précise que notre démarche de justice suit son cours mais vues les vacances ne prendra a mon avis réellement forme qu’en septembre.
j’espère que beaucoup d’entre vous auront la chance de partir car vivre a saint Denis et en région parisienne en temps de canicule est insupportable. je préfère l’automne, et le printemps.Goldo