Saint-Denis : démantèlement d’un réseau de proxénètes roms

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20 réponses

  1. Marion dit :

    La mairie de Saint-Denis « gérait » ce camp Rom depuis 2011.
    Il est impossible qu’elle ne soit pas au courant de cette mise en esclavage de jeunes femmes depuis sans doute plusieurs années. A t’elle couvert ou tenté d’étouffer ce sinistre commerce de chaire humaine ? « Proxénétisme aggravé » tant les mauvais traitements et les menaces les plus cruelles pesaient sur ces jeunes femmes ou jeunes filles !
    Alors, quelles justifications « gestionnaires » pour les professionnels municipaux de l’indignation, les pourfendeurs patentés des injustices sociales, ainsi-que les pseudo-féministes de la clique majoritaire de la ville ?
    Bref, ils vont feindre de tout découvrir, impossible pour eux que cela se déroule dans notre bonne ville. Naturellement, ils n’en ont rien su, ni rien vu, ni rien entendu ….
    Paillard et sa clique : Jawad N ° 2 et ses branquignols. Irresponsabilité, aveuglement, complicité ? ou les trois ?
    Rassurez vous bon peuple dionysien, à part ça, c’est l’Humain d’abord !

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  2. suger dit :

    Ce camp rom a été créé par la municipalité par une convention approuvée par le Conseil municipal le 12 avril 2012. Il avait alors été présenté et défendu comme un « village d’insertion », avec un nombre limité de familles pour assurer un réel suivi social. Le nombre des résidents enregistrés par la ville était d’ailleurs de 77 personnes (adultes et enfants). Très vite, ce projet d’un village d’insertion est parti à la dérive, le camp abritant de plus en plus de familles sans aucun contrôle ni suivi.
    A la veille des élections municipales, on avait pu ainsi apprendre que 82 adultes roms de ce camp étaient venus s’inscrire sur les listes électorales (en tant que résidents de nationalité européenne), et que plus de la moitié de ces nouveaux inscrits n’était pas recensés dans ce camp en 2012. Le camp semblait fin 2013 comptait près de 200 personnes. Le « village d’insertion » soutenu par la mairie était devenu un campement comme d’autres mais légal ! L’article du « Parisien » du 2 février retient aussi le chiffre de 200 personne environ et confirme l’échec du village d’insertion : « grande précarité » des habitants, présence de délinquants dirigeant un réseau de prostitution de jeunes femmes,…
    Que compte faire la municipalité qui a la responsabilité de l’existence et de la gestion de ce camp ? Comment peut-elle justifier le financement public de ce prétendu village d’insertion ?

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  3. Reveplus dit :

    cela fait des années que des jeunes femmes et fille ce prostitue a st Denis au abord de la porte de paris Impossible que que ils ne soient pas au courant ,
    Apres cela sera la faute de l état , ou encore le tourner a leur sens
    Merci marion vous avez tous dit

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  4. Habitant dit :

    Les plus grands délinquants de cette ville ne se trouve pas ds les quartiers ou les villages de roms. Ils sont au conseil municipal

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  5. Traz dit :

    Comme quoi la politique d’insertion de la Mairie menée dans ce camp a porté ses fruits….. Une entreprise locale de créée avec de multiples salariés, un secteur d’activité en développement……. Chapeau la Mairie, je comprends mieux maintenant l’augmentation régulière des taxes d’habitation et foncière, ça vaut vraiment le coup….

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  6. Karima dit :

    Je viens de passer devant la place des tilleuls, elles sont toujours là, et si vous voyez le tabac, le Balto, où elles se réfugient quand il pleut, c’est l’horreur. Mais bon, il fait bon vivre à Saint-Denis avec nos 170 communautés . je n’étais pas au courant qu’il puisse y avoir des prostitués dans ma ville.
    J’aime cette phrase, car elle me fait rire par la naïveté de certains.

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  7. goldo dit :

    et bien maintenant nous avons un camp de roms dans le quartier confluence, quartier en rénovation près d’une école, d’une gare, et d’immeubles.
    eux aussi sont là parce que des familles ont été ciblées pour un contrat de réinsertion. une première mesure de justice n’a pas été respectée et maintenant on ne sait plus exactement qui est dans ce camp et si encore les familles sélectionnées sont là mais en tout cas 200 personnes y vivent. Qui dit que certaines femmes de ce réseau ne se prostituent pas au Balto, on n’ en sait rien. en tout cas là c’est le Préfet qui a laissé faire même si on est persuadé que la première installation a été voulue. Ils ont eu beau nous dire le contraire on ne les a jamais cru. maintenant devant nos fenêtres un tas de merde et des fumées qui nous polluent et intoxiquent les personnes fragiles. Tous les chantiers sont bloqués car personne ne veut acheter ou louer. Les nouveaux propriétaires qui viennent d’arriver commencent déjà à regretter.vif Saint Denis

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  8. Azzedine dit :

    Bonjour à tous.
    Passant tous les jours devant ce camp de rom légalisé par la municipalité, je vois toujours toute sorte de belles voitures récentes passer devant. Toujours garées en double file, gênant la circulation. De l’autre coté du tram, la partie qui a été bétonné pour réduire la circulation, leur sert maintenant de place de parking.
    Alors aux élus qui lisent ce blog, avez vous le minimum de respect pour les habitants pour leurs répondre?

    Si vous voulez que le droit s’applique, il s’applique à tous ou à personne.

    Pour ma part, ce camp, et d’autres sur la ville, sont des verrues. Ils doivent être détruit. Toutes les politiques d’insertion ou camp d’insertion ont été des échecs cuisants. Les financements baissant sur ce type de projet, il faudra faire des choix. Ce seras eux ou les habitants de Saint Denis.

    Je les différencie volontairement car pour ma part, ils ne sont pas intégrés dans la ville. On les voit mais ils ne mélangent pas.

    Une dernière chose à destination M. PAILLARD. Tant que vous serez maire de cette ville, il ne fera pas bon vivre dans cette ville. C’est ce que l’histoire retiendras. Les élus qui le soutiennent sont complices de cet état de fait.

    Bonne journée.

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  9. Houari dit :

    Des prostitués à Saint Denis ? C’est la faute de l’état, c’est sur…

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  10. Houari dit :

    Plus sérieusement, et je l’ai déjà dit plusieurs fois, prendre 80 familles, ce n’est pas de l’intégration..
    Il faut que la ville prenne uniquement deux trois familles roms, les intègrent, leur donne un boulot et un logement ( cas de force majeure pour une population très discriminée) et accompagne leurs enfants dans la scolarité. C’est tout.
    Si chaque ville de l’île de France jouait le jeu, l’intégration de cette population serait terminée..
    Et ben non, à Saint Denis, on fait toujours différemment ( ghetto, béton dans toute la ville, roms, velcom etc..)
    Et après, on s’étonne que ça ne marche pas 🙁

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  11. grain de sel dit :

    Ce qui me navre et m’inquiète très fortement c’est le sort des enfants.Moi aussi je passe très régulièrement dans ce quartier et j’observe qu’il y a toujours des petits gamins ou des petites gamines qui font le tour des voitures au feu rouge au niveau de la station de tram de l’hôpital Delafontaine…ils quémandent une pièce, inspectent du regard l’intérieur de votre véhicule, mais il m’est aussi arriver de constater que des automobilistes pouvaient avoir un comportement douteux vis à vis de ces enfants….J’ai également noté que ces enfants étaient souvent tout seuls , sans la présence d’adultes, ils sont alors des proies faciles….

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    • Bill dit :

      Effectivement, le sort des enfants est particulièrement affligeant. Ils sont souvent seuls et les adultes dont ils « dépendent » ne sont pas nécessairement leurs parents. Qui s’inquiètera si l’un d’eux disparait ? Et ça m’énerve encore plus quand je réalise qu’en plus ils devraient être à l’école au lieu de faire la manche. Si seulement on arrivait au moins à rendre obligatoire leur présence en classe, qu’ils aient une petite chance de changer leur avenir…

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  12. Houari dit :

    Pour information, y’a un couple qui vient d’être arrêté ce mardi matin dans ce camp. Il dirigeait un réseau de pickpockets…

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  13. Habitant dit :

    Cette municipalité gère ce camp de rom comme il gère leur ville, avec beaucoup de mépris envers ses habitants. Tout ce qui les intéresse, c’est leur poste, indemnité..Comme je le dis depuis un moment, les pires délinquants de cette ville sont au conseil municipale.

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  14. Pierrot dit :

    Le JSD vient de publier sur son site un article sur ce camp en mettant en cause… – devinez qui ? -… la police !!! On voudrait favoriser l’existence d’une zone de non-droit servant de base à des proxénètes et à des chefs de clans utilisant des mineurs comme voleurs qu’on ne s’y prendrait pas autrement. J’ai laissé un commentaire sur le JSD qui ne sera peut-être pas censuré, mais qui comme d’habitude ne sera accessible que quelques heures, puis disparaîtra de la une et deviendra inaccessible ( ils ne censurent pas, ils escamotent ce qui les gêne…). Sur ce blog, qui respecte les dionysiens, il restera accessible :
    Commentaire posté vers 9h30 sur le site du JSD :
    Tous les roms ne sont pas des mafieux évidemment, mais ils subissent la loi de clans mafieux s’enrichissant de réseaux de prostitution et de pickpockets. Et au lieu de dénoncer ces clans, d’aider la police à les combattre, cet article et les responsables des associations de « soutien » préfèrent minimiser les faits, nier l’éventuelle culpabilité de certains et dénigrer l’action de la police. Avec de tels « soutiens », les roms resteront longtemps sous la coupe des mafieux et condamner à vivre misérablement ! Et tout ceci se passe dans un camp géré par la municipalité et baptisé faussement « village d’insertion »…

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  15. suger dit :

    L’article du JSD paru ce jour sur son site est scandaleux : au lieu de s’intéresser aux victimes (les jeunes femmes soumises aux réseaux de proxénètes, les enfants contraints à mendier ou voler), le JSD nie les faits ou les rend anodins et met en cause l’action des policiers qui luttent contre ces trafics et aident ainsi les victimes à s’en sortir. Quant aux membres des associations qui s’expriment dans cet article, sont-ils aveugles à ce point ou, pire, complaisants ?
    Leur action n’a aucun sens tant qu’ils ne dénonceront pas les responsables des trafics mafieux dans ce camp !

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  16. suger dit :

    Le JSD et les associations de soutien devraient absolument lire l’article « Enfants roms, grand banditisme et traite des êtres humains », écrit le 18 février par Jean-Pierre Rosenczveig, le célèbre Président du Tribunal pour enfants de Bobigny (encensé par certains et considéré comme trop laxiste par d’autres…) sur son blog. Cela leur permettra peut-être de reconsidérer leurs critiques absurdes contre l’action de la police dans le camp »Voltaire ».
    Extrait :
    « Ces enfants sont les victimes de réseaux mafieux qui souvent les achètent au Kosovo ou autre pays des Balkans à leurs parents légitimes qui n’ont comme ressources que de vendre leurs enfants, les forment aux techniques du vol et touchent les bénéfices, les jeunes étant à l’amende s’ils ne rapportent pas les sommes exigées.
    Ils deviennent les petites mains d’une délinquance économique qui renvoie la justice de mineurs et la société à leurs limites et à leurs contradictions comme pour les enfants utilisés dans les rues ou les transports en commun pour la mendicité des adultes.
    Depuis des années nous appelions à ce que les services de police s’organisent pour combattre ces réseaux mafieux. L’expérience démontre enfin qu’en y mettant les moyens comme on a su le faire dans d’autres domaines on obtient des résultats. En France ce travail a notamment été mené par l’Office Central de Lutte contre la Délinquance Itinérante (OCLDI). Les faits auraient diminué de 15 % depuis un an.
    On formera le souhait que cette pression policière soit maintenue sur la durée et que la justice inflige à ces trafiquants d’enfants les peines criminelles qui s’imposent. »
    http://jprosen.blog.lemonde.fr/2016/02/18/enfants-roms-grand-banditisme-et-traite-des-etres-humains/

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  17. Marion dit :

    @ Suger
    Merci beaucoup pour cet article édifiant qui pointe l’aveuglement total et l’extrême naïveté de la bien-pensance gauchiste d’une part, et les carences du système judiciaire d’autre part.

    « Les JSD et les associations de soutien devaient absolument lire l’article » : Très bien, on ne saurait trop leur conseiller, mais qu’en feront ils ?

    Cela fait des années que nous dénonçons sur ce blog la « main invisible » et l’ombre tentaculaire des mafias de l’est qui se rient de l’absence de nos frontières et du manque d’effectifs et de moyens de la police nationale. Depuis longtemps, reportages et autres documentaires ou enquêtes remontent aux sources mafieuses balkaniques signifiant la traite des femmes et des enfants.

    Et la mairie de Saint-Denis ? Le maire et les élus majoritaires vivent-ils coupés de l’ information et de tout média ?

    Ils ont donc installé en parfaite connaissance de cause plusieurs camps rom pour se créer une nouvelle clientèle électorale. C’était leur dernière cartouche aux élections municipales, puisque les ressortissants de l’U. E. peuvent voter. Achat de jeunes enfants maltraités et dressés au vol, mise en esclavage de jeunes femmes contraintes à la prostitution, renforcement de la domination masculine, loi du plus fort : voilà la réalité crue du « village d’insertion ».
    Et Mr Paillard ose parler d’indécence à l’encontre de celles et ceux qui lui jettent en plein visage ces horribles constats parfaitement avérés !

    Quant au JSD et aux associations de soutien aux roms, nous attendons depuis trop longtemps leur prise de conscience.
    Alors, pour maintenir leurs prébendes, sont ils eux aussi prêts à tout ? J’ai pour ma part beaucoup de mal à croire au simplisme de leur raisonnement et à leur naïveté de façade.
    Leur aveuglement idéologique, leur entêtement pseudo-humaniste, la défense acharnée de leurs intérêts valent ils, dans ce cas précis, complicité passive ou active ?

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  18. Lecteur du "Monde" dit :

    Dans « Le Monde » de cet après-midi :
    « La réalité c’est que ces gamins, leur vie quotidienne, c’est voler, observe le lieutenant-colonel François Despres. Ils étaient logés dans le 93, ils sévissaient le matin sur les lignes 1 ou 2 du métro, dans les grands magasins, sur la ligne A du RER, et ils arrivaient à Disney en fin d’après-midi. Ils attendaient la fin de la parade et tapaient du portefeuille à tout va. Et s’ils ne ramenaient pas assez d’argent, ils subissaient des pressions. »
    Au final, pourtant, pas d’enrichissement spectaculaire : « Certains se font construire des maisons en Roumanie, beaucoup d’hommes jouent, les femmes s’offrent de temps en temps un sac de luxe… Mais ils ne roulent pas en Ferrari. Il y a des centaines de personnes dans le clan, c’est tentaculaire et l’argent se dilapide. »

    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2016/02/23/la-police-demantele-un-clan-soupconne-d-orchestrer-les-vols-a-la-tire-aux-abords-de-disneyland_4870178_1653578.html#qJ4MTih3UQ0udem9.99

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