Stand bio sur le marché / raisonné ?
Bonjour, j’aurais aimé savoir si il existe toujours sur les marchés les stands bio/raisonnés qui sont cités dans un article datant de 2010?
Je n’arrive pas à trouver d’informations et j’avoue que je ne sais pas à qui m’adresser, je me permet donc de vous contacter.
Cordialement.
m0w
@m0w
De quel article s’agit-il ?
A ma connaissance, il y a un commerce (récent) qui vend du pain BIO (très bon) et du fromage(je ne sais plus s’il est BIO mais nous avons essayé du brebis qui est bon).
Il est situé dans la Halle couverte, face au marchand de Pommes qui est dos à dos avec Kersanté .
De mémoire, il y a un stand bio de pommes et jus de pommes pas loin du fromager.
Vu dans le Parisien daté du 10 juin : Des fruits et légumes bio au pied des bureaux de Nathalie Revenu
« Dans le quartier d’affaires de la Plaine-Saint-Denis, sur la grande avenue François-Mitterrand, Brigitte se sent bien seule derrière son étal de fruits et légumes, Vege & Table. Tous les jours, elle propose des fruits et légumes bio. Une touche colorée et parfumée au pied des immeubles des sièges sociaux. Sur les trottoirs larges comme des boulevards, les petits marchands forains ont encore du mal à trouver leur place. Brigitte Roussey est la première à décrocher une autorisation en bonne et due forme. Ce précieux sésame lui a été attribué au bout d’une longue attente. « J’ai déposé ma demande en 2012. Le dossier n’a pas bougé pendant six mois », explique l’autoentrepreneuse. Elle a enfin pu déployer le calicot de sa petite entreprise il y a deux mois, entre le siège de la SNCF et celui de Generali. […]
Sa famille, originaire du Cameroun, est à la tête d’Africa Bio une entreprise créée il y a une dizaine d’années qui cultive ses propres produits dans la région de Douala. Une autre branche de la famille, installée en France dans les Pays de Loire, approvisionne les petits paniers de Brigitte en denrées du terroir. […]
Depuis ses premiers pas à la pépinière de La Courneuve, Brigitte a su faire grandir son affaire. Maintenant qu’elle a mis un pied dans le quartier où elle vit, elle compte bien s’enraciner et développer une distribution de paniers dans les entreprises du secteur. « Je veux privilégier la proximité et les produits exotiques ». A Saint-Denis, elle n’a guère de concurrence. La ville de près de 110 000 habitants ne compte encore aucune supérette ni épicerie bio. »
Dans cet article du Parisien, on relève la difficulté pour pouvoir créer une activité légale (2 ans) alors qu’on sort enfin de l’activité taxiphone / boulangerie industrielle / salon de coiffure manucure et qu’on propose une activité positive pour la santé et l’environnement et sans concurrence de commerces existants… A croire qu’il y a 2 circuits : les « commerce de qualité » semblent avoir des difficultés à obtenir du soutien pour leurs projets et beaucoup finissent par renoncer (cf Argile et Vin) alors que les commerces typiques St Denis semblent naître en une nuit (et souvent disparaissent de même).
Surtout que cette commerçante était soutenue par la Miel, on pourrait espérer plus de soutien à l’activité de cette pépinière qui est un des seuls éléments positifs dans cette ville pour favoriser la création d’entreprise.
En tout cas, c’est une bonne nouvelle pour les habitants de la Plaine qui auront maintenant accès à des fruits et légumes bio.
@Suger
Toutes mes excuses pour la suppression inopportune et involontaire de votre commentaire qui avait bien sûr toute sa place sur ce sujet.