Un lycée de l’extrême-gauche à La Plaine !…

On a pu voir à la rentrée 2019 une partie des enseignants du lycée Angela-Davis ou lycée de La Plaine faire grève contre la réforme du bac et la « ségrégation sociale », et cela le jour même de la rentrée le 4 septembre 2019… , empêchant donc le déroulement de cette rentrée et provoquant la plus grande confusion chez les élèves et l’inquiétude des parents, comme le relatait « Le Parisien » :
« Saint-Denis : c’est la rentrée… et déjà la grève au lycée Angela-Davis »
Lycée « Angela-Davis » ou lycée de La Plaine ?
Il faut cependant rappeler que ce lycée, né il y a deux ans, n’a toujours pas de nom officiellement, sinon « Lycée de La Plaine ». En effet un vote en Conseil d’administration a fait un choix très politisé et qui va à l’encontre des critères habituellement retenus pour donner un nom à un nouveau lycée. Angela Davis est une figure du minuscule Parti Communiste américain et s’est fait connaître dans les années 1970 dans le soutien aux mouvements activistes noirs qui prônaient la violence à l’opposé des mouvements pour les droits civiques non-violents inspirés par Martin Luther King. Et aujourd’hui Angela Davis est surtout connue pour son ralliement et son soutien actif en France aux « indigénistes » et autres « racialistes », qui, hélas, ont fait de Saint-Denis leur terrain de jeu, avec la complicité de la municipalité.
Mais il y a bien plus grave !
Et c’est ce qu’un article de « L’Express » a révélé tout récemment :
Enquête dans deux lycées franciliens.
Voici des extraits concernant le Lycée de La Plaine (dit « Angela Davis ») :
En cette journée d’automne pluvieuse, les élèves du lycée Angela-Davis à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ne flânent pas pour papoter devant les grilles de l’établissement. La météo les incite à presser le pas. Le flux est d’autant plus rapide qu’aujourd’hui, faute de surveillants, absents pour cause de grève, les contrôles à la grille sont plus sommaires que d’habitude. Elève en terminale, Leïla* fulmine : « Depuis que je suis scolarisée ici, on subit les grèves des profs régulièrement. On arrive le matin et on apprend que des cours sont annulés. C’est insupportable et c’est un manque de respect pour nous. Comme beaucoup d’autres inscrits ici, j’habite loin du lycée, et tous les jours je me demande si je ne vais pas faire tout ce trajet pour rien. »
Il y a quelques semaines, le lycée Angela-Davis a fait parler de lui : deux jeunes, dont un élève du lycée, ont été victimes d’une agression au couteau à proximité des grilles. Pourtant, les grèves qui émaillent le quotidien de l’établissement n’ont pas grand-chose à voir avec ce trop-plein de violence. Les revendications des grévistes demeurent très floues aux yeux de bon nombre de lycéens. « Ça ne changera rien pour nous, peste une élève. Tout ce que je sais, c’est qu’on a le bac à passer à la fin de l’année, et qu’ils nous foutent dans la merde. Ils disent faire cela d’abord pour nous. Ils répètent que nous sommes traités comme des sous-élèves parce qu’on vient de la banlieue et des cités du 93. Mais, finalement, ils nous méprisent aussi ! »
« Ils nous ont dit que le gouvernement voulait créer un bac spécial pour nous »
Une rapide consultation démontre pourtant le soutien massif des élèves à ces mouvements de grève et aux professeurs militants. Celui de Brahim* et Nabil*, par exemple, deux élèves de première sérieux, loin d’être en échec scolaire. Ils sont très réceptifs- aux motivations des grévistes, et affirment ne pas souffrir de l’amputation des cours. Pour eux, il s’agit de défendre leurs droits de lycéens de banlieue. Des revendications sur -lesquelles il n’est pas question de transiger. « Le rectorat et le ministère nous traitent différemment parce que, ici, c’est le 93. Les profs parlent beaucoup avec nous. Ils partagent les vidéos des réunions où ils interpellent Blanquer. Ils nous ont dit que le gouvernement voulait créer un bac spécial pour nous. Pourquoi ? On n’est pas différents des autres. » Un bac spécial pour les banlieusards, rien que ça. L’allégation, fausse -évidemment, court dans les lycées de plusieurs villes, au grand dam de Jean-Michel Blanquer. Et conforte ces lycéens dans leur conviction d’être les laissés-pour-compte de la République.
Le ministre de l’Education nationale avait déposé plainte contre Sud Education 93 en 2017.
Cette situation serait notamment le fait d’un syndicat, Sud Education 93, dont les discours particulièrement virulents et les prises de position inquiètent jusqu’au sommet du ministère de l’Education nationale. En novembre 2017 déjà, Jean-Michel Blanquer avait déposé plainte contre ce syndicat, à l’origine d’un stage destiné à interroger le « racisme d’Etat » en proposant notamment des ateliers « non mixtes », donc interdits aux Blancs. Pas de quoi faire flancher Sud Education, qui avait riposté, en mars dernier, en organisant un nouveau stage pour les enseignants intitulé « Comment entrer en pédagogie antiraciste ».
Pierre Mathieu, professeur de français syndiqué Sud Education à Angela-Davis, a accepté de répondre à nos questions par SMS. Il justifie les grèves par le « peu de moyens alloués » au lycée. Quant au discours sur le bac différent en banlieue, il l’explique comme ceci : « La réforme du lycée conduit à un bac plus local. Un lycée de Saint-Denis se trouve de fait défavorisé dans les sélections post-bac, ce que nous constatons au regard des résultats de Parcoursup de l’an dernier. »
« Spirale de pessimisme »
Daniel* est parent d’une adolescente scolarisée à Angela-Davis. Il vit à Saint-Denis depuis de nombreuses années et connaît les difficultés de cette ville. Il s’interroge sur le choix du nom donné à l’établissement. Une activiste américaine « proche des mouvements indigénistes », glisse-t-il dans un rire crispé (Angela Davis est une militante du mouvement des droits civiques aux Etats-Unis, membre des Black Panthers, qui a surtout lutté dans les années 1970). Il n’acceptera de poursuivre notre échange qu’avec l’assurance de l’anonymat pour préserver sa fille. « On a eu droit, cette année, dès le premier jour de la rentrée, à une grève. Il y a un climat particulier dans cet établissement, entretenu par une petite minorité de professeurs de syndicats d’extrême gauche. »
A pleurer de rage. Quel gaspillage d’intelligences !
Alors que nos enfants ont besoin d’être soutenus, d’avoir confiance en eux et en leurs capacités, qu’on leur ouvre les portes et l’esprit, les discours radicalisés à la mode indigéniste leur font croire qu’ils n’arriveront à rien quoiqu’ils fassent parce qu’ils sont de St Denis. Ces enfants sont en plein développement, en pleine construction mentale et on leur fait croire que tout est déjà figé, qu’ils ne trouveront jamais leur place dans la société parce que rejetés d’office. On leur dénie même le mérite scolaire en leur faisant croire que leurs réussites et diplômes ne sont pas au niveau national mais adaptés à St Denis.
La propagande politique est pourtant interdite mais ces manipulateurs n’ont aucune limite. Eux ont réussi leurs études, ont trouvé un travail et leur place dans la société mais leur si grande conscience de gauche n’a aucun scrupule à saper les études de leurs élèves pour mieux pouvoir hurler à l’injustice.
Résultat : les parents d’élèves à St Denis s’arrachent les cheveux pour offrir une scolarité normale à leurs enfants. Malheureusement tout le monde ne peut pas s’offrir le privé ou avoir la bonne adresse pour envoyer leurs enfants en public sur Paris.
Pour moi, ce n’est pas la gauche, en tout cas pas la mienne, qui n’a pas changé depuis 1986 quand j’ai commencé à enseigner à St Denis : l’école de la République qui cherche à amener tous les élèves au meilleur niveau possible, dans le respect de la laïcité (donc neutralité absolue du professeur en classe), dans le but d’une émancipation (le contraire de l’endoctrinement) et d’une réussite personnelle guidée avec exigence, qui contribue à la société dans son ensemble et au bien commun.
Ces collègues, si j’en crois cet article, construisent un séparatisme victimaire qui enferme les élèves pour servir leur propre vision du monde. Cette façon de faire est méprisante, et c’est elle qui assigne les jeunes du 93 à leur identité, au lieu d’en faire des citoyens.
La lutte pour une école plus juste, avec les moyens qu’il faut, ne devrait passer en aucun cas par l’instrumentalisation des élèves. J’ai eu des professeurs communistes dans les années 80, et leur déontologie était sans faille.
Ce sont des irresponsables qui se fichent complètement de fiche en l’air la vie de gamins qui sont déjà en difficulté. Eux leurs carrières sont faites et leurs enfants sont à l’abri et avenir assuré.
Les parents souvent sont manipulés et font confiance naturellement aux représentants de l’institution sans s’imaginer une seconde qu’ils puissent être dangereux pour leurs enfants.
Le ministre doit sévir !
Ces activistes qui sont pire que les plaies d’Égypte doivent être remis à leur place.
Et pourtant, nous connaissons tous des jeunes qui ont réussi à Saint-Denis, comme on peut réussir partout ailleurs, avec comme seule arme, la volonté, le travail, le courage et la confiance en soi. C’est terrible de constater que la spirale de l’échec est fabriquée et entretenue par idéologie.
Il y a clairement un syndicat qui instrumentalise parents et lycéens qu’il faut dénoncer… c’est « Sud Education ». Il est dommage que la CGT lui emboîte le pas trop souvent…
Laurence de Cock, une des cheffes de file ce cette tendance indigéniste et grande copine de Messaoudene, a fait une crise à la lecture de cet article !!!
Un tissu de mensonges parait-il !…
https://twitter.com/laurencedecock1/status/1201931443414405120
Moi je trouve que ça va très bien Angela Davis, leader d’un mouvement violent et racialiste pour une ville comme Saint-Denis, la ville qui a su accueillir dignement un des terroristes des tueries islamistes du Bataclan. Et en plus cela renouvelle le genre, après des années à nommer des rues avec des noms de communistes comme Lénine, et autres Thorez.
Pour info Angela Davis a été membre du parti communiste américain! ( 1969–1991 ).
C’ est ce qu’on a appelé , à juste raison , des » gréviculteurs »……..