Il s’agit probablement d’affichage inspiré par un petit groupe d’anarchistes du Groupe Henry Poulaille de Saint-Denis, surtout influents dans deux associations (subventionnés généreusement, ce qui montre que l’Etat n’est pas si méchant…) : le Festival Bobines Rebelles de St-Denis et l’Université populaire de Saint-Denis (ou Dyoniversité).
Les articles publiés sur leur blog (http://poulaille.org) sont moins sympathiques, notamment le plus récent, daté du 7 décembre et intitulé « Violences policières, « rénovation urbaine » et contrôle social – Refusons d’être le laboratoire de leurs politiques sécuritaires ! ».
On peut y lire les affirmations suivantes : « En 2012, en France, l’action de la police a entraîné la mort d’une personne tous les 15 jours » (est-il besoin de préciser que ceci est totalement inventé !) ou « La création de nouvelles Zones de Sécurité Prioritaires, le développement de la vidéosurveillance , la mise en place d’antennes de commissariat aux abords de certaines gares, révèlent que l’étau se resserre autour des habitants des quartiers », ou encore « L’État, relayé par les médias, nous parle de mafia de la drogue, de délinquance et d’insécurité croissante pour justifier ses politiques de nettoyage de la ville : occupation des rues par la police, plans de rénovation, expulsion et déplacement de populations ».
Ces propos radicaux devraient enthousiasmer Mme Davisse et ses amis de la municipalité. Difficile de faire plus radical contre l’action de la police et la vidéosurveillance !…
Bien que un peu jeune à l’époque, je me souviens avoir vu et entendu ces diatribes et autres invectives sur les murs et dans les discours pendant la période 68 et après.
« A bas l’état policier », « crs= ss », « dictature du prolétariat »…..
Ces mots, alors, étaient des moyens, des outils, pour combattre la société, soulever sa chape pour y faire entrer une grande bouffée d’air neuf. Cela ne fut pas inutile, c’était même nécessaire pour faire bouger les mentalités.
Je ne pense pas que leurs auteurs du moment les envisageaient sincèrement et profondément comme de véritables buts, sauf sans doute quelques joyeux « jusqu’auboutistes ».
Comme toujours, quelques insatisfaits chroniques se les approprient pour en faire leur environnement de pensée, de vie et de soi-disant combat. C’est quand même plus facile d’être toujours « contre » de rejeter fautes et responsabilités sur l’autre, en l’occurrence l’état.
(Tiens, ça me rappelle quelque chose…)
La critique systématique est bien plus confortable et moins fatigante que l’action.
Les auteurs (de ces auto-collants) d’aujourd’hui en sont encore là. Ils s’accrochent à ces outils usés d’hier comme de vieilles moules aux piliers de jetées abandonnées. Qu’ils se rassurent, on leur fichera la paix, personne ne viendra les bouffer ; pas bon !
Ils sont dans un état d’esprit de réaction contre l’évolution de la vie qui, qu’on le veuille ou non, est un fait. Rien n’est immobile dans l’univers; eux : si !
Je pense sincèrement que même si la vigilance est indispensable, la priorité n’est pas là aujourd’hui en France, qu’on ne peut pas qualifier d’autre chose que de vraie démocratie.
Ces gens sont ce que j’appelle des « réacs » et de plus « fachos » au vu de la violence de leurs propos.
On leur fait peut être même trop d’honneur en parlant d’eux.
@Sam : Là, on est face à ce qu’il y a de plus ringard. Pourtant il est étonnant que cette affichette soit collée dans le quartier gare, après une très large contribution sur ce même thême sur le site.
Rassures-toi, je ne crois pas au complot, mais notre expression publique dérange, elle ne va pas dans le sens souhaité par les élus aussi ringards que l’affichette. Ce slogan en rejoint un autre tout aussi grave, oral celui-là, un bon flic est un flic mort, par exemple. Mais de là à laisser supposer que nos élus soient dans le coup c’est un peu excessif. Par contre je suis impatient de voir, d’entendre, de lire leur réaction et celle du Maire en particulier. Et puis il y a ceux qui n’ont vraiment pas envie d’être vu dans leur petits trafics. Oh! mais suis-je bête! il n’y a pas besoin de caméra puisque les élus veulent dépénaliser la consommation des drogues (comble de l’hypocrisie) dites douces.
En fait, depuis environ fin 2009 les extremistes de ce type sont très actifs dans le quartier de la gare…
Alors des slogans contre l’Etat et l’autorité sont nombreux mais celui-ci est particulièrement violent. Ce qui est surprenant est qu’il coincide avec le débat du blog…
@suger
Ton commentaire me donne encore plus froid ds le dos…
@alain On espère lire des élus et surtout que ces slogans et affiches soient rapidement effacés. Certains datent depuis les dernières élections présidentielles…
@Tous
Entre extrême gauche, altermondialisme, anarchie, ex brigades rouges …cette ville a mérité son « label rouge » en matière d’activisme. Quel binz !
Mais cela fait déjà plusieurs mois que ce slogan s’affiche sur ce mur; à Paris, on en trouve de ci de là depuis longtemps. Je crois qu’il ne faut pas y attacher trop d’importance.
Cette ville est un gigantesque circuit où se croisent les trains-fantôme. Sueurs froides garanties et promesse du plus délirant concours d’horreurs !
Encore des surprises crasses à révéler ? Des théories vieillotes toxiques à redécouvrir ?
Du côté de la cité du cinéma (ils doivent bien avoir des caméras !), notre laboratoire labellisé ne vous inspire t’il pas ? Hilarant de filmer la liberté et les exploits des renards et de leurs renardes dans le poulailler affolé ! … Désolée, je ne voulais pas faire de mauvais jeu de mot avec ce trop peu fameux Monsieur Poulaille, dont je viens de lire le fabuleux destin, grâce à notre éclaireur en chef. Ah, je crois qu’au cinéma, on dit éclairagiste !
De l’autre côté du périph, ça s’expose dans des galleries et ça attire les commentaires aussi mousseux que le champagne qui les accompagne.
J’aimerai que l’état regarde du côté de mon hall d’immeuble. Je suis prêt à lui payer une paire de lunettes.
@Lazare : « je crois qu’il ne faut pas y attacher trop d’imporance », je ne vous suis pas du tout sur ce terrain là. Tout le monde, y compris vous-même, soulignez la gravité du slogan. Si l’on considère que ce même slogan est affiché aussi à Paris et ailleurs en petite quantité, cela veut tout de même dire quelque chose. A l’origine il y a bien quelques individus assez illuminés pour produire ce genre de conneries, mais ce n’est pas signé.
La violence d’où qu’elle vienne et quelqu’en soit la forme ne peut être balayée d’un revers de main et classée au rang de l’anecdote.
J’attends pour ma part que le Maire intervienne, ne serait-ce que pour faire nettoyer les murs à défaut de nettoyer le reste de nos rues.
À Berlin, c’est devenu un sport pour paumés en mal de cause (même s’il faut se méfier comme de la peste de ce qui nous contrôle, ce discours contre « l’Etat » est franchement…pas terrible.)
À voir, si amateurs : http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2…
« mécékoi ce slogan de pti bourge ? «
Il parait même que certains anarchistes de Saint-Denis travaillent dans la finance ou pire possèdent une agence immobilière…
Sinon le groupe Poulaille sur St Denis c’est :
l’animation d’une AMAP avec plus de 200 adhérents sur la ville
L’organisation d’une Université populaire avec deux conférences par semaine
La mise en place d’une bibliothèque populaire et gratuite
La création d’un festival de films documentaires sur St Denis
et plein d’autres choses…
@ Eddy
L’Etat auquel les anarchistes veulent « crever les yeux » est pourtant l’expression de la volonté populaire. Les peuples sans Etat sont particulièrement vulnérables, comme par exemple, en Somalie depuis 20 ans, dans les 4 pays de l’Asie centrale depuis la fin de l’ex URSS, ou plus récemment, au Mali. Quand l’Etat s’effondre ou quand il n’y a pas d’Etat, les gens sont très malheureux, car alors s’applique la loi du plus fort.
Je réitère mon affirmation qu’il s’agit bien d’un « slogan de pti bourge » hyper individualiste, coupé du réel, et n’ayant aucun souci du Peuple ni du bien commun.
Je vous invite à méditer la phrase de Jaurès, selon laquelle, « il faut aller du réel à l’idéal ».
Moi aussi j’ai ma phrase à méditer :
Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux.
Benjamin Franklin
Sur cette phrase, un internaude disait
« le droit, la sécurité et la liberté sont des privilèges que vous donnent vos dirigeants, ils tirent un peu sur l’un pour activer l’autre, vous en perdez deux à chaque fois que vous en exigez un. »
Mais aussi
« le peuple c’est comme un petit bébé, ne sait pas comment s’orienter vers le bon chemin sachant que les malhonnêtes existent, il lui faut un guide (un leader) ».
C’est pas vrai ? Pauvres habitants. Bien vu Marion et ddavid
Puisque nous sommes un week-end à citations, en voici une de Condorcet : « Un peuple éclairé confie ses intérêts à des hommes instruits, mais un peuple ignorant devient nécessairement la dupe des fourbes qui, soit qu’ils le flattent, soit qu’ils l’oppriment, le rendent l’instrument de leurs projets, et la victime de leurs intérêts personnels. »
C’est bien de cela qu’il s’agit, n’est-ce-pas ?…
mécékoi ce slogan de pti bourge ?
Gauchisme = maladie infantile du communisme
l’Etat peut me regarder, j’ai rien à me reprocher… (bande d’irresponsables ceux qui ecrivent cela) .
Il s’agit probablement d’affichage inspiré par un petit groupe d’anarchistes du Groupe Henry Poulaille de Saint-Denis, surtout influents dans deux associations (subventionnés généreusement, ce qui montre que l’Etat n’est pas si méchant…) : le Festival Bobines Rebelles de St-Denis et l’Université populaire de Saint-Denis (ou Dyoniversité).
Les articles publiés sur leur blog (http://poulaille.org) sont moins sympathiques, notamment le plus récent, daté du 7 décembre et intitulé « Violences policières, « rénovation urbaine » et contrôle social – Refusons d’être le laboratoire de leurs politiques sécuritaires ! ».
On peut y lire les affirmations suivantes : « En 2012, en France, l’action de la police a entraîné la mort d’une personne tous les 15 jours » (est-il besoin de préciser que ceci est totalement inventé !) ou « La création de nouvelles Zones de Sécurité Prioritaires, le développement de la vidéosurveillance , la mise en place d’antennes de commissariat aux abords de certaines gares, révèlent que l’étau se resserre autour des habitants des quartiers », ou encore « L’État, relayé par les médias, nous parle de mafia de la drogue, de délinquance et d’insécurité croissante pour justifier ses politiques de nettoyage de la ville : occupation des rues par la police, plans de rénovation, expulsion et déplacement de populations ».
Ces propos radicaux devraient enthousiasmer Mme Davisse et ses amis de la municipalité. Difficile de faire plus radical contre l’action de la police et la vidéosurveillance !…
Bien que un peu jeune à l’époque, je me souviens avoir vu et entendu ces diatribes et autres invectives sur les murs et dans les discours pendant la période 68 et après.
« A bas l’état policier », « crs= ss », « dictature du prolétariat »…..
Ces mots, alors, étaient des moyens, des outils, pour combattre la société, soulever sa chape pour y faire entrer une grande bouffée d’air neuf. Cela ne fut pas inutile, c’était même nécessaire pour faire bouger les mentalités.
Je ne pense pas que leurs auteurs du moment les envisageaient sincèrement et profondément comme de véritables buts, sauf sans doute quelques joyeux « jusqu’auboutistes ».
Comme toujours, quelques insatisfaits chroniques se les approprient pour en faire leur environnement de pensée, de vie et de soi-disant combat. C’est quand même plus facile d’être toujours « contre » de rejeter fautes et responsabilités sur l’autre, en l’occurrence l’état.
(Tiens, ça me rappelle quelque chose…)
La critique systématique est bien plus confortable et moins fatigante que l’action.
Les auteurs (de ces auto-collants) d’aujourd’hui en sont encore là. Ils s’accrochent à ces outils usés d’hier comme de vieilles moules aux piliers de jetées abandonnées. Qu’ils se rassurent, on leur fichera la paix, personne ne viendra les bouffer ; pas bon !
Ils sont dans un état d’esprit de réaction contre l’évolution de la vie qui, qu’on le veuille ou non, est un fait. Rien n’est immobile dans l’univers; eux : si !
Je pense sincèrement que même si la vigilance est indispensable, la priorité n’est pas là aujourd’hui en France, qu’on ne peut pas qualifier d’autre chose que de vraie démocratie.
Ces gens sont ce que j’appelle des « réacs » et de plus « fachos » au vu de la violence de leurs propos.
On leur fait peut être même trop d’honneur en parlant d’eux.
bourge, gauchisme, réacs, fachos, communisme … ces vieilles expressions du XXe siècle 😀 ;-P
Ce n’est qu’un slogan sur un mur donc forcément très très réducteur.
Pour un peu plus d’info et de nalizes vous pouvez toujours consulter le lien ci-aprés.
Mimile (non membre du groupe poulaille mais quand même pas loin)
http://souriez.info/
@Sam : Là, on est face à ce qu’il y a de plus ringard. Pourtant il est étonnant que cette affichette soit collée dans le quartier gare, après une très large contribution sur ce même thême sur le site.
Rassures-toi, je ne crois pas au complot, mais notre expression publique dérange, elle ne va pas dans le sens souhaité par les élus aussi ringards que l’affichette. Ce slogan en rejoint un autre tout aussi grave, oral celui-là, un bon flic est un flic mort, par exemple. Mais de là à laisser supposer que nos élus soient dans le coup c’est un peu excessif. Par contre je suis impatient de voir, d’entendre, de lire leur réaction et celle du Maire en particulier. Et puis il y a ceux qui n’ont vraiment pas envie d’être vu dans leur petits trafics. Oh! mais suis-je bête! il n’y a pas besoin de caméra puisque les élus veulent dépénaliser la consommation des drogues (comble de l’hypocrisie) dites douces.
En fait, depuis environ fin 2009 les extremistes de ce type sont très actifs dans le quartier de la gare…
Alors des slogans contre l’Etat et l’autorité sont nombreux mais celui-ci est particulièrement violent. Ce qui est surprenant est qu’il coincide avec le débat du blog…
@suger
Ton commentaire me donne encore plus froid ds le dos…
@alain
On espère lire des élus et surtout que ces slogans et affiches soient rapidement effacés. Certains datent depuis les dernières élections présidentielles…
@Tous
Entre extrême gauche, altermondialisme, anarchie, ex brigades rouges …cette ville a mérité son « label rouge » en matière d’activisme. Quel binz !
Mais cela fait déjà plusieurs mois que ce slogan s’affiche sur ce mur; à Paris, on en trouve de ci de là depuis longtemps. Je crois qu’il ne faut pas y attacher trop d’importance.
Cette ville est un gigantesque circuit où se croisent les trains-fantôme. Sueurs froides garanties et promesse du plus délirant concours d’horreurs !
Encore des surprises crasses à révéler ? Des théories vieillotes toxiques à redécouvrir ?
Du côté de la cité du cinéma (ils doivent bien avoir des caméras !), notre laboratoire labellisé ne vous inspire t’il pas ? Hilarant de filmer la liberté et les exploits des renards et de leurs renardes dans le poulailler affolé ! … Désolée, je ne voulais pas faire de mauvais jeu de mot avec ce trop peu fameux Monsieur Poulaille, dont je viens de lire le fabuleux destin, grâce à notre éclaireur en chef. Ah, je crois qu’au cinéma, on dit éclairagiste !
De l’autre côté du périph, ça s’expose dans des galleries et ça attire les commentaires aussi mousseux que le champagne qui les accompagne.
J’aimerai que l’état regarde du côté de mon hall d’immeuble. Je suis prêt à lui payer une paire de lunettes.
@Lazare : « je crois qu’il ne faut pas y attacher trop d’imporance », je ne vous suis pas du tout sur ce terrain là. Tout le monde, y compris vous-même, soulignez la gravité du slogan. Si l’on considère que ce même slogan est affiché aussi à Paris et ailleurs en petite quantité, cela veut tout de même dire quelque chose. A l’origine il y a bien quelques individus assez illuminés pour produire ce genre de conneries, mais ce n’est pas signé.
La violence d’où qu’elle vienne et quelqu’en soit la forme ne peut être balayée d’un revers de main et classée au rang de l’anecdote.
J’attends pour ma part que le Maire intervienne, ne serait-ce que pour faire nettoyer les murs à défaut de nettoyer le reste de nos rues.
À Berlin, c’est devenu un sport pour paumés en mal de cause (même s’il faut se méfier comme de la peste de ce qui nous contrôle, ce discours contre « l’Etat » est franchement…pas terrible.)
À voir, si amateurs : http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2…
« mécékoi ce slogan de pti bourge ? «
Il parait même que certains anarchistes de Saint-Denis travaillent dans la finance ou pire possèdent une agence immobilière…
Sinon le groupe Poulaille sur St Denis c’est :
l’animation d’une AMAP avec plus de 200 adhérents sur la ville
L’organisation d’une Université populaire avec deux conférences par semaine
La mise en place d’une bibliothèque populaire et gratuite
La création d’un festival de films documentaires sur St Denis
et plein d’autres choses…
@ Eddy
L’Etat auquel les anarchistes veulent « crever les yeux » est pourtant l’expression de la volonté populaire. Les peuples sans Etat sont particulièrement vulnérables, comme par exemple, en Somalie depuis 20 ans, dans les 4 pays de l’Asie centrale depuis la fin de l’ex URSS, ou plus récemment, au Mali. Quand l’Etat s’effondre ou quand il n’y a pas d’Etat, les gens sont très malheureux, car alors s’applique la loi du plus fort.
Je réitère mon affirmation qu’il s’agit bien d’un « slogan de pti bourge » hyper individualiste, coupé du réel, et n’ayant aucun souci du Peuple ni du bien commun.
Je vous invite à méditer la phrase de Jaurès, selon laquelle, « il faut aller du réel à l’idéal ».
Moi aussi j’ai ma phrase à méditer :
Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux.
Benjamin Franklin
@Marion
pour une fois je ferai court : +100000000 !!!! (;0)
Sur cette phrase, un internaude disait
« le droit, la sécurité et la liberté sont des privilèges que vous donnent vos dirigeants, ils tirent un peu sur l’un pour activer l’autre, vous en perdez deux à chaque fois que vous en exigez un. »
Mais aussi
« le peuple c’est comme un petit bébé, ne sait pas comment s’orienter vers le bon chemin sachant que les malhonnêtes existent, il lui faut un guide (un leader) ».
C’est pas vrai ? Pauvres habitants. Bien vu Marion et ddavid
Samira n’est pas sam. Je porte le même prénom. J’aurais du mettre un pseudo pour éviter tout malentendu.
Puisque nous sommes un week-end à citations, en voici une de Condorcet :
« Un peuple éclairé confie ses intérêts à des hommes instruits, mais un peuple ignorant devient nécessairement la dupe des fourbes qui, soit qu’ils le flattent, soit qu’ils l’oppriment, le rendent l’instrument de leurs projets, et la victime de leurs intérêts personnels. »
C’est bien de cela qu’il s’agit, n’est-ce-pas ?…